Mémoire – 2 avril 1943, le drame du puits de la Centrale
Cette fois le grisou n’est pas à invoquer mais l’activité humaine : l’injection d’eau pour noyer un incendie et l’obturation hermétique de l’endroit. La pression de vapeur d’eau surchauffée pulvérisa les barrières et 10 mineurs y laissèrent la vie, atrocement brûlés… Les restes pulvérisés des quatre derniers ne furent retirés…