Que de rebondissements ont vécu les salariés de Gaussin SA et sa filiale, à l’époque, ceux de Metalliance implantée à Saint-Vallier et Génelard.
Si, au bout d’un mano a mano entre Christophe Gaussin, le Pdg de Gaussin et Metalliance dont il était aussi le patron, a tourné à l’avantage du fabriquant d’engins pour la construction des tunnels, non sans avoir été placé en redressement judiciaire, grâce à l’arrivée d’un consortium avec à sa tête Steve Filipov, le constructeur d’engins électriques décarbonés ne présentait pas une santé financière très reluisante. C’était en juillet dernier.
Dès lors, se posait la question du devenir de Gaussin.
La nouvelle est tombée vendredi 29 novembre, le tribunal de commerce de Vesoul, a prononcé la liquidation judiciaire de la société Gaussin, alors que deux offres de reprises avaient été formulées.
Une offre émanait de Metalliance (Corial SM) et une autre de Christophe Gaussin lui-même avec un groupe d’investisseurs. Le tribunal n’a retenu aucune des deux offres. Pour l’heure, la soixantaine de salariés à l’usine à Héricourt se retrouve sans travail. Triste fin d’année.
J.B.
Voilà c’est fini . Les petits porteurs qui ont cru que la bourse c’était plus sur que le livret A , n’ont plus que leur yeux pour pleurer, et les actions gratuites distribuées aux cadres dirigeants de Gaussin et Metalliance la valeur d’un emprunt Russe . Les fournisseur et leur 140 millions de dettes eux on en parle pas . Le personnel qui est resté jusqu’au bout , direction France Travail .
Bah en même temps, les problèmes de compétences ça finit par se voir !
Le psg, le Dakar, l’avion présidentiel … n’a pas fait illusion longtemps.
Quant aux petits porteurs, ils ont joué et ils ont perdu!