Projet de loi de finances 2023 – « Des avancées concrètes »

Photo archives.

 

Communiqué de Louis Margueritte, député de Saône-et-Loire 

 

Ce 19 octobre 2022, après plus de 60 heures d’intenses débats, l’Assemblée nationale a adopté la première partie du projet de loi de finances pour 2023.

 

Pendant huit jours, les députés de la majorité ont été particulièrement mobilisés, de jour comme de nuit, pour débattre de ce texte budgétaire crucial. Ils ont montré qu’ils étaient constructifs et prêts à établir des compromis avec les oppositions, comme sur la garde d’enfants ou encore la demi-part des veuves d’anciens combattants.

 

Dans une volonté d’intégrer des propositions issues de tous les bords politiques au budget de l’État pour l’an prochain, nombre d’amendements ont été retenus dans la version du PLF 2023.

 

Grâce aux débats qui ont eu lieu à l’Assemblée ces dernier jours, ce texte apporte des avancées concrètes pour tous les Français :

 

– Dans la période actuelle de crise énergétique à laquelle sont confrontés tous les Français, nous augmentons de 16 Md€ le bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité pour protéger leur pouvoir d’achat.

 

– Les collectivités territoriales sont également soutenues grâce à l’extension du bouclier énergétique aux communes, départements et régions.

 

– Nous soutenons fortement les familles choisissant la garde à domicile de leur enfant en élevant le plafond de dépenses donnant droit au crédit d’impôt de 2 300 euros à 3 500 euros. Les familles pourront également bénéficier d’un crédit d’impôt pour du soutien scolaire à domicile.

 

– Nous continuons à protéger le pouvoir d’achat des Français en indexant le barème de l’impôt sur l’inflation. Ce sont 6,2 milliards d’euros de gain d’impôt pour les Français.

 

– Pour soutenir nos agriculteurs et viticulteurs dans la période difficile qu’ils traversent due notamment aux aléas climatiques de plus en plus fréquents et violents, nous augmentons leur plafond d’épargne.

 

Je reste mobilisé pour défendre notre territoire, à vos côtés.

 

Très fidèlement,

 

                                                                                               Louis MARGUERITTE

3 commentaires :

  1. D’abord, je voudrais proposer à toutes et tous les Député(e)s un projet de loi visant à interdire tout débat et toute mise aux voix à l’assemblée Nationale après 23H00. De même, Interdiction aussi durant les grandes vacances scolaires d’été !
    1) Sur le premier point : Je ne sais pas pour vous ? Mais n’étant pas superman, à 11H00 du soir, j’avoue que mon jugement, le manque de sommeil aidant, n’est plus aussi sûr que durant la journée.

    2) Sur le second point : Trop de lois, selon moi, sont votées à la sauvette l’été alors que les gens sont en vacances et que dispersés, ils n’ont aucun moyen (qu’ils soient d’ailleurs pour ou contre) de se mobiliser pour exprimer démocratiquement leur point de vue.

    Ma proposition a, de plus, le mérite d’améliorer la vie de famille de nos élus. Ils l’apprécieront (en tout cas, je l’espère) à sa juste valeur.

    Ensuite, je voudrais aller au fond du problème. Monsieur Marguerite nous expose 5 exemples de l’action gouvernementale. En apparence, ces mesures sont sympas sauf que je pourrais les démonter toutes les cinq.
    Cependant, pour ne pas être trop long, je me contenterai d’en commenter 2 d’entre elles.

    Mr Marguerite dixit : « Nous continuons à protéger le pouvoir d’achat des Français en indexant le barème de l’impôt sur l’inflation. Ce sont 6,2 milliards d’euros de gain d’impôt pour les Français ».

    Je le crois sur parole. Je suppose qu’il fait référence à l’impôt sur le revenu.
    S’agissant d’une moyenne, la question est : Pour quels Français ? Les ultra-riches où les extra-pauvres ? LES EXTRA-PAUVRES NE PAYENT PAS D’IMPÔT SUR LE REVENU faute, hélas, d’un revenu suffisant. On ne tond pas un œuf ! Donc, aucun bénéfice pour eux. Par contre, les ultra-riches profitent largement de cette mesure. A qui profite le crime ?

    Mr Marguerite dixit encore : « – Nous soutenons fortement les familles choisissant la garde à domicile de leur enfant en élevant le plafond de dépenses donnant droit au crédit d’impôt de 2 300 euros à 3 500 euros. Les familles pourront également bénéficier d’un crédit d’impôt pour du soutien scolaire à domicile ».

    J’aimerais savoir qui, à Montceau ou à St Vallier, peut se payer le luxe d’une garde ou d’un soutien scolaire à domicile pour ses enfants. J’appelle les lecteurs de l’informateur de Bourgogne à témoigner et ce plus particulièrement les habitants des cités HLM ou des anciennes maisons de la mine aux Gautherets, à la Sablière ou au Magny. A mon point de vue, il y en a fort peu. On se contente de la crèche. Par contre, à Neuilly, qu’on en use largement ne m’étonnerait pas plus que ça…
    D’ailleurs, pourquoi parler de soutien scolaire ? L’école de la République ne suffirait-elle pas ?
    Si on ne comprend pas qu’il faut avant tout donner priorité à une Éducation Nationale fédératrice, c’est soit qu’on manque d’intelligence ou pire qu’on est acheté par ceux qui veulent la privatiser pour en faire, comme c’est le cas des masse-médias un organe de propagande gouvernementale.
    Dans les revendications des enseignants, Il ne s’agit pas seulement de salaires (qui sont pourtant dans la moyenne basse des pays Européens) mais aussi de reconnaissance et de soutien de la part de leur employeur qui en « l’haut cul rance » (cf Frédéric Dard (Lol)) est L’État.

    Je vous laisse réfléchir sur ces questions. N’hésitez pas à poster avec de vrais arguments.

    Cordialement,

    JBL

  2. A 23 h c’est la nuit . La nuit c’est pour dormir ou faire autre chose. La plupart des députés se retrouvent seuls de leur vie de couple . Ce sont aussi des êtres humains qui ont le droit de profiter des plaisirs de la vie . Ce sont des femmes et des hommes avant tout. Alors oui je suis d’accord avec vous .

  3. S’il pouvait me situer ou se trouve Neuilly par rapport aux Gautherets ,à la sablière ou au Magny .Merci de ne pas écrire un livre . Merci .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *