Blanzy – Espaces verts, espace de débat au conseil municipal

Festival Blanzy en mars en famille, tous les sons pour tout public.

A l’image de la commune et de ses ambitions, la dernière édition du festival Blanzy en mars en famille a été à la hauteur des espérances de la municipalité. A l’occasion du conseil municipal, ont été communiqués le nombre de spectateurs à chaque concert:

Un mois de Festival, avec 18 événements. 3155 spectateurs avec une présence de + de 280 artistes (groupes, chorale, chanteurs etc.).

410 personnes pour Joyce Jonathan

156 pour ZUT
230 Pour AdelaÏde Ferrière

140 à Volo

260 pour Claguiba’Zik

A ce conseil municipal du 22 mai, il a beaucoup été question du rond-point de la Fiolle (lire par ailleurs), un mauvais point pour un rond-point.

A l’ordre du jour également, outre l’augmentation de 1% du prix du repas à la cantine scolaire à la rentrée prochaine (moins que le taux d’inflation 2018) et des tarifs de l’école de musique dans la même proportion, a été abordé le bail de location des locaux (ancien restaurant scolaire R. Picard) à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage et agence française de biodiversité (ONCFS et AFB).

Le bâtiment est toujours en travaux. L’intérieur sera achevé en septembre et l’extérieur d’ici 2020. C’est pourquoi, alors que l’ONCFS et AFB aménageront dès le 3 juin prochain, la ville assure la gratuité du loyer jusqu’à l’achèvement des travaux.

Et les espaces verts, un sujet qui vaut aujourd’hui son pesant de pesticide ! Annie Suchet a rappelé, pour information, l’organisation justement des espaces verts au sein du service communal et de bien souligner que « depuis 2015, la commune n’utilise plus de pesticides chimiques ».

Catherine Lonjaret lui embraya le pas, « ne pourrions pas supprimer l’utilisation des pesticides sur toute la commune (habitants compris) » comme l’incite le mouvement Nous voulons des coquelicots ?

Quand bien même Hervé Mazurek, à titre personnel, a signé la pétition contre l’utilisation des pesticides, il ne tient pas toutefois  » à faire porter cette responsabilité _ notamment _ aux agriculteurs qui n’en ont pas besoin en ce moment. Parlons plutôt du respect de la nature » a estimé le maire.

Certes la commune ne traite plus, « mais des personnes utilisent toujours des produits le long de leurs murs. De plus, les paysagistes qui dépendent de l’agriculture, ont toujours le droit de traiter » soulignait encore Catherine Lonjaret. Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne.

« Je me sens compétent pour la commune, pas pour les agriculteurs » lui rétorquait Jean-Marc Frizot, premier adjoint.

J.B.

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