Attaques du loup – Le prédateur peut trembler, la brigade d’intervention est arrivée

Le loup reviendra-t-il à la charge dans les prés et attaquer les agneaux ?

Information de la préfecture.

LOUP EN SAÔNE-ET-LOIRE : LA BRIGADE D’INTERVENTION GRANDS PRÉDATEURS TERRESTRES MOBILISÉE

Comme s’y étaient engagés le préfet Jean-Paul CELET, préfet référent Loup, ainsi que le préfet de Saône-et-Loire, Julien CHARLES, lors de leur rencontre sur le terrain du 22 août avec la profession ovine, la brigade d’intervention contre les grands prédateurs de l’Office français de la biodiversité (OFB), dite « brigade loup », est intervenue cette semaine sur le terrain.

Après s’être imprégnés de la complexité des territoires d’attaques du loup et de la spécificité de l’élevage ovin dans le département, les agents de la brigade ont pu délivrer leur analyse d’expert et leurs conseils. Ceci permettra aux louvetiers et aux agents de l’Office français de la biodiversité, de renforcer l’efficacité de leurs interventions aux côtés des éleveurs et des chasseurs mobilisés pour la prévention des attaques et pour la mise en œuvre des tirs de défense.

Les agents de la brigade ont également procédé à la formation de l’ensemble des louvetiers du département et, en lien avec la fédération de chasse, de plus d’une trentaine de chasseurs les habilitant à participer à l’organisation et la mise en œuvre des opérations de tir de défense renforcée autorisées par le préfet.

Enfin, ils ont organisé et réalisé avec les agents de l’OFB et les louvetiers des tirs de défense sur les communes de Saint-Romain sous Gourdon et le Rousset-Marisy, siège des dernières attaques.

À quelques jours de l’ouverture générale de la chasse, fixée ce dimanche 20 septembre, le préfet rappelle également à tous les chasseurs du département que le loup est une espèce protégée. Sa destruction est strictement interdite, en dehors du cadre réglementaire dérogatoire.

La direction départementale des territoires, l’office français de la biodiversité et les lieutenants de louveterie demeurent mobilisés pour accompagner les éleveurs dans la protection de leurs troupeaux.

7 commentaires :

  1. Entre ce qui est marquer sur l’information de la préfecture est la réalité de la chasse cela fait deux … pas de pitié pour le loup…il a déjà fait trop de dégâts .
    Marizy est pas marisy .🙄.

  2. Pauvre loup solitaire.
    Entre les louvetiers, les agents et tous les chasseurs qui entreront en action dimanche, je ne lui donne pas une semaine de survie.
    Combien de lapins, lièvres, perdrix, faisans, pigeons, chevreuils et autres petits animaux inoffensifs vont se faire massacrer à partir de dimanche ?
    Et on accuse le loup d’être un être sanguinaire !
    De qui se moque-t-on ?
    En cette période de sécheresse, de disette pour beaucoup d’animaux, comment peut-on encore accepter une pratique, non pas ancestrale, mais primitive ?
    Comment peut-on encore parler d’Office français de la Biodiversité pour un organisme qui décide d’éradiquer le seul loup de la région ?
    Un loup, qui, de toutes façons, ne serait pas rester ici, tout seul, il aurait quitté ce coin inhospitalier pour trouver une âme soeur.
    A moins qu’il ne se montre plus malin que ces humains dont les neurones sont limités.

  3. Et pour la racaille ,y-a-t-il une brigade d’intervention..????

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