Municipales 2020 – Saint-Vallier : Denis Beaudot réagit « au séisme » Konecranes

Communiqué de la liste Saint-Vallier Un Nouveau Souffle, Une Nouvelle Ere.

Laurent Hurtel et Denis Beaudot.

Dans notre entourage nous avons tous un parent, un ami ou une connaissance qui travaille chez Konecranes. Nous avons tous connu quelqu’un qui a vécu et nous a raconté la grande époque de PPM puis l’ère Terex. En 2015, il restait 300 salariés … Aujourd’hui l’annonce fait l’effet d’un séisme : 115 hommes et femmes sur 141 seront sur le carreau. C’est toute notre communauté qui est touchée et des familles qui s’apprêtent à vivre des moments difficiles.

M. Philibert annonce qu’il va en parler au sous-Préfet. Il est pris d’un intérêt soudain… C’est un peu tard pour s’en préoccuper ! Mais pardon, j’oubliais, nous sommes en période électorale… Où était-il ces dernières années ? L’a-t-on entendu mettre en avant notre industrie, créé du lien avec le tissu économique local ? Qu’a-t-il fait pour l’industrie et le commerce pendant ses mandats successifs ?

PPM, Terex, Konecranes : c’est un patrimoine industriel et un savoir-faire qui se réduit comme peau de chagrin. Mais c’est avant tout une aventure humaine, l’Histoire d’hommes et de femmes qui vivent sur notre territoire et qui ont œuvré pour cette entreprise. Ils méritent toute notre considération et ont notre soutien le plus total. 

Saint-Vallier, Un Nouveau Souffle, Une Nouvelle ère !

Denis BEAUDOT

 

3 commentaires :

  1. et vous Mr Beaudot ou étiez-vous lors des différents mouvements sociaux du temps de PPM ou Terex on ne vous a pas beaucoup vu quand les salariés manifestés devant leur outil de travail et pourtant il y a longtemps que vous êtes élu???? alors arrêté de dire que le maire actuel est pris d’un intérêt soudain pour le devenir de cette entreprise et je vous retourne la chose en disant « que c’est vous qui vous en servez car vous êtes en période électorale »

  2. Et j’ajouterais qu’il est malheureusement désormais trop tard.

    De toutes manières, quand vous êtes face à de puissants groupes industriels, il n’y a rien à faire.
    Ils sont conseillés par des spécialistes qui connaissent parfaitement les lois (et les combines…).

    Il n’y a plus qu’un seul espoir ; qu’une société soit intéressée par le très bel outil de travail que représente le site pour y développer une nouvelle activité.
    Refaire des grues et des stackers n’est plus possible ; Konecranes a fait ce qu’il faut pour que ce soit ainsi…

    • Vous avez raison. Quand c’est décidé et engagé de façon pro (je n’aime pas mais) plus grand’chose à faire. Ni rien à promettre (politiciens, syndicalistes, etc…) aux malheureux salariés.

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