La nature ne devrait pas cesser de nous émerveiller. Pourtant, elle est trop souvent maltraitée prioritairement par l’homme qui, néanmoins, tente de corriger ses agissements et ses comportements.
A la 19e édition de la fête de la nature au plan national, il serait grand temps que les consciences s’ouvrent, que notre planète soit mieux protégée et préservée.
C’est tout le sens des cinq jours d’animation proposés par la ville de Sanvignes dans le cadre de cette fête de la nature dont c’est la deuxième édition sur la colline.
Au programme (voir ci-dessous), le public peut notamment admirer les superbes photographies de William Debord, un artiste professionnel dijonnais qui tire le portrait des paysages français et, en particulier de la Bourgogne.
Un photographe qui a l’oeil attiré par les lumières, au levé du jour ou quand le soleil se couche. « Ce sont toutes ces palettes de couleurs qui me font vibrer » dit-il devant ses photos exposées au Liberty jusqu’à dimanche (de 10h à 20h). Ses clichés sont splendides, ils nous emmènent là où l’éphémère garde une trace le temps d’une pause plus ou moins longue.
C’est la deuxième fois que William Debord expose à Sanvignes. La première fois, il s’en souvient très bien, c’était pendant l’épidémie de covid et son exposition à la Trèche en avait été impactée. « Je suis de retour pour finir ce que j’avais commencé ». Il expose 31 photographies.
La nature est vraiment belle, ça ne fait aucun doute.
J.B.
