Prédateur – Un loup abattu la nuit dernière dans le Charolais

Prélèvement d’un loup dans le Charolais.                                                   

 

Un loup a été abattu hier soir vers 23 h sur la commune de Fontenay, alors qu’il était sur le point de se livrer à une nouvelle prédation dans un parc protégé accueillant des ovins.

Le prédateur a été tué par un agent de la brigade mobile d’intervention sur les grands prédateurs terrestres, service national de l’office français de la biodiversité (OFB), en coopération avec les services locaux de l’OFB, dans le cadre d’une opération de tir de défense simple.

 

 Un loup photographié sur la commune de Dompierre-les-Ormes le 16 avril dernier. Photo OFB.

 

11 commentaires :

  1. On ne peut pas l euthanasier et le porter plus loin?! Va falloir réapprendre à vivre pourtant avec eux!

  2. Bravo.! 👍👍👍👍
    Sans compter que les loups vont détruire les dernières compagnies d’Uri Blancs.

  3. Toutes mes félicitations à l’agent de l’OFB.
    Mais de grâce ne vous arrêtez pas la.
    Ces salopperies n’ont rien à faire dans une région d’élevage et réduire à néant le travail des éleveurs.

  4. appliquons une vision "européenne" des choses

    le problème du loup c’est comme l’immigration, l’europe, les lois mémoruielles, la valse des chèques macroniens ….
    c’est parce qu’il n’y en a jamais assez qu’il y a encore des problèmes alors comme pour tout le reste, pour régler les problèmes de loups, il faut plus de loups

  5. Il faut savoir ce que l’on veut, une planète seulement peuplée d’humains et de moutons ! car les humains sont partout sur la planète Terre et ils sont en concurrence avec les loups, les lions, les requins, et toute la faune sauvage.
    Exterminons tous les animaux que l’on ne consomme pas, et rasons par la même occasion les forêts pour y mettre … des moutons !
    Ou alors, réfléchissons un peu, et demandons-nous ce qui est le plus important, amasser des profits ou préserver le futur, de notre planète et de ses habitants.
    Il est grand temps de s’occuper de la biodiversité, car l’avenir de nos enfants et de nos petits enfants en dépend.
    Leur avenir vaut bien quelques sacrifices !

  6. Le loup était là avant nous, l’homme l’a fait disparaître pour son confort. Il revient naturellement laissez le tranquille, que l’OFB s’occupe de la surpopulation de chevreuils et de sangliers.

  7. Quel est le prédateur du loup ?
    Il n’en a pas !
    Donc la seule solution c’est de l’abattre.
    Les éleveurs ne travaillent pas pour nourrir les loups mais les êtres humains.
    La situation est déjà assez difficile comme ça sans emmerder le monde avec les loups.
    Cette bestiole devient le rival de l’homme.
    Sous prétexte de la biodiversité, les écolos font n’importe quoi.
    On peut aussi réintroduire des requins dans le lac de la Dorme, des crocodiles dans la Bourbince… Etc
    La connerie n’ayant plus de limite.

    • Les lois de la Nature

      La biodiversité est une de ces lois biologiques dont nous devons tenir compte si nous voulons survivre. L’histoire de la biologie n’étant que la modification permanente génétique en vue de la survie des espèces vivantes testées par la Nature (et par les connexions chimiques).
      La fin de la biodiversité entraînera à terme par définition la fin d’une immense partie de l’humanité, et cela de manière aléatoire.
      Car la fin de la biodiversité, c’est l’impossibilité de se défendre lorsqu’un nouveau virus, ou une nouvelle bactérie émergera, et que celle-ci sera 1000 fois plus dangereuse que le Covid.
      Être raisonnable, c’est apprendre à cohabiter en bonne intelligence, stratégie gagnant-gagnant, y compris entre humains. (absurdités de « l’ayatollisme écologiste » et de « l’anti-écologisme pas mieux »)
      La stratégie de l’abattage (généralisé, car attention, je ne dis pas qu’il ne faut pas prélever et donc réguler au cas par cas avec subtilité, modération et assurance de ne pas provoquer en fait une dérégulation préjudiciable), c’est du perdant-perdant, car les destructions de toutes sortes entraînent à terme l’épuisement de toutes les ressources (appauvries car esseulées, elles ne profitent alors plus de leur écosystème pour se renouveler). Nous ne voyons pas encore cela, car ces ressources se trouvent à l’autre bout du Monde ou bien par un « miracle » de l’engrais du premier temps qui appauvrit le sol et les eaux 10 ans après entraînant des importations qui contribuent à nous aveugler encore, donc on n’est pas touché encore directement. Mais ça vient petit à petit…….
      Car, aussi, depuis le Moyen-Âge, l’être humain ne comprend pas le phénomène de « fléau », et il pleure seulement quand le fléau arrive au lieu de les prévenir en étant véritablement instruit et prévoyant, car confondant « richesse » avec « accumulation ».

  8. Un scientifique en 1956 à créé la myxomatose.
    Les lapins de garennes sont morts par milliers.
    Ils constituaient la nourriture de base de beaucoup d’animaux tel que renards, blaireaux, buses, vautours etc et ça n’a gêné personne.
    Même certains hommes étaient heureux de pouvoir manger un lapin ou de le proposer à leur famille.
    Seuls les chasseurs ont réalisé des efforts financiers considerables afin de reintroduire cette espèce socle de nourriture de l’écosystème ou du genre humain.
    Des vaccins hélas peut efficaces ont été créés.
    Des adaptations du biotope, la chasse à été interdite etc etc….!
    Rien. Ils étaient où les écolos et donneurs de leçons ?
    Qu’ont ils fait ? Et pour la perdrix ? Le lièvre ? Le faisan ?
    Alors un peu d’humilité svp.

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