CGT – Un documentaire sur Black Rock à voir vendredi

Le cadeau de Noël de Macron à Black Rock

Communiqué de la CGT bassin montcellien – Le Premier ministre a confirmé les orientations du rapport Delevoye concernant la retraite des cadres supérieurs… Alors qu’aujourd’hui ils cotisent sur l’ensemble de leur salaire jusqu’à 8 plafonds de la sécurité sociale (soit 27 016 € brut/mensuels), ils ne cotiseraient plus que jusqu’à 3 fois le plafond de la sécurité sociale. (Le fameux plafond de 120 000 € par an soit 10 000 € par mois)

Les cotisations de solidarité, d’un montant total de 9,94 % (2,30 % à la Sécurité sociale + 7,64 % à l’AGIRC-ARRCO) seraient ramenées à 2,8 % au-delà des 10 000 € par mois jusqu’au plafond de 27 016 € brut/mensuels. Sur les plateaux télé, ceci est présenté comme une avancée sociale de premier plan. Mais de qui se moque-t-on ?

Cette orientation fait suite à la réforme de l’épargne retraite de la loi Pacte, qui organise la transférabilité des produits d’épargne retraite, renforce leur défiscalisation et assouplit les modalités de versement. Voilà qui est de nature à créer un marché juteux pour les fonds d’épargne retraite qui lorgnent sur l’épargne des français-e-s et coûtera très cher à nos systèmes de retraite solidaires qui
seront tirés immanquablement à la baisse.

Les cadres sup’ seraient renvoyés vers l’épargne retraite et la capitalisation pour tenter de maintenir leur niveau de vie. Ils ne cotiseraient plus sur la totalité de leur salaire dans notre système solidaire.

Les services de l’AGIRC-ARRCO ont établi un chiffrage de la perte de ressource pour les retraites par répartition. L’étude démontre que le manque à gagner en termes de
cotisations serait de près de 4,8 milliards en moyenne annuelle, soit en cumulé de 2025 à 2040 de plus de 71 milliards d’euros.

Contrairement au discours populiste entretenu par le gouvernement, sortir 10 % des cadres du système par répartition est tout sauf une mesure de justice sociale. C’est un cadeau aux entreprises, qui en 15 ans feront une économie de 43 milliards sur la part dite patronale des cotisations et à la finance. Le tout sera cher payé par l’ensemble des salarié-e-s. Ce gouvernement travaille à la destruction de notre bien commun !

TOUTES LES PERSONNES DISPONIBLES SONT INVITÉES VENDREDI 27 DÉCEMBRE À LA PROJECTION D’UN DOCUMENTAIRE SUR BLACKROCK – SALLE DU SYNDICAT DES MINEURS – 17H00 – NOUS SOMMES EN DROIT DE NOUS POSER LA QUESTION :

« Et si c’était BlackRock qui dans la coulisse actionnerait la réforme française des retraites ? » Début décembre BlackRock était invité à la table de Macron. Cette réforme ne profitera à personne, sinon aux fonds de pensions et aux riches pour lesquels Macron crée un régime spécial gros salaires. Refusant d’écouter les syndicats et la mobilisation populaire, Macron contraint au durcissement.

16 commentaires :

  1. Et vas-y donc ! Appauvrissons les pauvres et enrichissons les riches. Encore une preuve de plus que la politique Macroniste n’en a rien à cirer du peuple. Mais quand le citron sera si pressé qu’il n’aura plus de jus, que fera-t-il ce cher monsieur ? Il travaillera dans les mines, peut-être ? Comme les enfants d’Afrique ou d’Amérique du Sud ou encore de Chine ?
    Là pour le coup, avec ce système, la sécu finira bien par avoir un vrai gros trou. Et les Français seront soumis au même régime que les Américains : tu es riche, tu te soignes, tu es pauvre, tu crèves.
    Je serai donc présente ce vendredi, d’autant que mes connaissances économiques sont loin d’être au top et que le savoir est une richesse qu’on a beau essayer de nous enlever, on arrive toujours, quand on le veut, à trouver les moyens de s’informer. Et apprendre, c’est aussi la porte ouverte vers la vraie liberté de penser.
    À vendredi donc ! Et merci pour cet article édifiant !

  2. Et pourquoi pas Dark Vador ou la bête du Gevaudan ?

  3. En faisant ce parallèle entre la situation de crise actuelle et la guerre des étoiles ou l’histoire de la bête du Gévaudan Onauratoutvu a, une fois de plus, tout compris…
    Dans le premier cas, il s’agit de la lutte sans merci entre le côté obscur (lobbies et multimilliardaires) qui veut réduire l’univers (les peuples) en esclavage par l’intermédiaire de sa marionnette Dark Vador (MR Macron) et une alliance rebelle multi-raciale et hétéroclite (la convergence). Dans le second, il s’agit d’une bête cruelle qui terrorise et dévore les petites gens.
    Soulignons que les deux histoires finissent bien avec le triomphe de la force et la mort de la bête. Merci à Onauratout vu de nous donner des motifs d’espérer…
    Plus sérieusement, l’analyse de la CGT en ce qui concerne les cotisations retraite des cadres supérieurs est à mon sens imparable. Cependant ce n’est qu’un épisode de plus parmi les multiples tentatives faites par nos gouvernants depuis 40 ans pour mettre la main sur les centaines de milliards d’encours que constitue l’épargne populaire. Ayant été cadre financier, je suis fort intéressé par cette projection et le débat qui suivra. A ce soir 17H00…
    Quant à ceux qui préfèrent polémiquer, voire insulter sans jamais argumenter, qu’ils ne viennent surtout pas, ils risqueraient de s’instruire…

    • Encore Bravo JBL. Heureusement que vous êtes là.
      Mais qui a envie de savoir d’où vient la misère de nos jours ? Qui se pose la question ? J’entends toujours cette phrase, répétée comme une rengaine qu’« il y aura toujours des riches et toujours des pauvres », comme une fatalité divine s’abattant sur la terre. Mais le monde n’a pas toujours été comme ça et si les humains n’avaient pas été solidaires à une très ancienne époque, ils auraient été éradiqués de la planète. C’est bien plus tard que ça c’est gâté : la lutte pour le pouvoir, pour l’argent sont devenus les seuls moteurs des pays capitalistes. Seuls quelques peuples vivent encore de façon collective, pour le bien de tous, mais on cherche à les faire disparaître.
      Aujourd’hui, un vent d’humanisme se lève à nouveau. Ceux qui restent encore chez eux, ceux qui hésitent, qui ont peur (et pour cause : perdre un œil, une main n’est guère tentant) se laisseront-ils porter par lui ? Entendront-ils raison ? Se battront-ils pour leurs enfants ?
      Je l’espère, je le souhaite, mais je sais que tous les « onauratoutvu » qui rodent encore un peu trop souvent partout avec pour seul moteur un cerveau qu’il est offensant pour les reptiles de nommer ne pourront jamais trouver la lumière.

    • Excellent JBL !
      Onauratoutvu, c’est Oui-Oui, le petit pantin de bois vivant à Mini-ville devenu béni-oui-oui en grandissant.

  4. Copernic, Goliath,
    Je vais me répéter une nième fois. Plutôt que de réclamer toujours plus d’asservissement à un système qui ne dépends pas de vous, vous feriez mieux de vous concentrer sur l’école et la formation professionnelle. Qui elles, donnent des outils à tout à chacun afin de se donner plus de liberté.
    Regarder l’exemple des carrossiers? N’importe quel carrossier, pas feignant bien sur, qui bosse correctement, et bien, il recommence chez un nouvel employeur le lendemain de la fin de son préavis. Idem pour les plombiers, les informaticiens, les ouvriers de chantier qualifiés etc ….
    Si vous avez des compétences, que vous les entretenez et les développez au cours de votre vie professionnelle, vous vous donner la liberté de choisir et de mener votre barque à votre guise.
    C’est ce combat la qu’il faut mener. Le votre est perdu d’avance, il n’y aplus de pognon dans les caisses malgré le fait que la France soit l’un des pays qui fasse payer le plus d’impôts au monde ! La France est le pays entretient le plus d’inactifs au monde !
    Mais le problème avec le genre de syndicat que vous soutenez, c’est que si les salariés gagnent en liberté, vous perdrez toute votre importance et votre influence. Et cela, Martinez et consort s’y refusent. C’est pourquoi, vous ne mènerez jamais les bons combats, ceux du futur et non ceux du passé comme vous le faite.

      • Martine,
        Cet article est très intéressant. Je cite :  » … titulaire d’une licence d’administration publique complétée par un master de management des unités culturelles …. » ou encore « … licence en communication obtenue à Sciences Po ainsi que d’un master professionnel en communication internationale … ».
        Pour quoi faire ? Quels sont les débouchés ? Ces étudiants se sont ils posé la question des débouchés concrets liés à ces cursus ?
        Cet article illustre un problème important. Certains étudiants choisissent ce qu’ils aiment ou aussi bien souvent ce qui satisfait l’égo de leurs parents, sans se soucier des débouchés et de leur employabilité. Et ensuite, le bec dans l’eau, ils ne comprennent plus.
        Faire des choix est une bonne chose, mais aujourd’hui, il faut faire les bons choix. Actuellement, vous êtes carrossier, plombier, spécialiste en maintenance industrielle, informaticien etc … les entreprises vous courtisent.

        • Les débouchés sont les nécessités de ce dont l’humanité a besoin pour vivre en bonne société, ce dont les « organisateurs » de la-dite société ne veulent pas, préférant la facilité des profits immédiats.
          D’après le GIEC, l’automobile et l’informatique connaîtront des jours sombres dans les 20 à 50 ans qui viennent par manque de matières premières en train de s’épuiser.
          D’accord pour les plombiers et la maintenance industrielle, mais nous aurons aussi plus que jamais besoins de spécialistes du « développement durable », d’entomologistes, de naturalistes, de permaculteurs, d’ingénieurs spécialisés dans la conservation et l’économie d’énergie, d’hydrologues, d’ingénieurs de l’isolation durable et saine, de nano-physiciens….. or nous n’en avons quasiment pas. D’où vient ce paradoxe?
          Réponse dans la première phrase.
          Quant à la culture, elle permet de vivre en société, de se rencontrer, de partager un moment paisible et intelligent après une dure semaine de labeur. Quand il n’y aura plus de télévision (même problème d’épuisement des ressources métaux et terres rares), nous serons bien contents d’avoir des troupes de théâtre, des peintres, des orchestres, des cirques, des marionnettistes, etc…. chaque week-end.
          La communication internationale est vitale pour les ambassades et la bonne entente entre les différents pays de différentes langues. Plus d’ambassadeurs = plus de paix dans le monde.
          L’employabilité est une décision de société, donc collective ; pas un symposium individuel.
          Seuls les personnes ou les états qui ont les vrais moyens financiers ont les pouvoirs de créer les emplois dont nous avons besoin.
          Mais bon….. chacun sa vision de la vie et du monde……

          • Martine ou Mme Irma 🙂 🙂 🙂 (vous semblez prévoir l’avenir 🙂 ),
            Bien sur, il faut de tout pour faire le monde. Mais si il y a 10 postes ouverts, pourquoi est ce que 10 000 personnes se forment ? Quel est l’intérêt de créer 9990 chômeurs ?
            A un moment, il faut se poser les bonnes questions. Si il n’y a pas de débouchés, il n’y a pas de débouchés.
            Faire des études pour ne pas trouver de boulot, expliquez moi quel est l’intérêt ?
            La vie est affaire de pragmatisme. Une fois que les besoins fondamentaux sont assurés, on peut toujours rêver.

  5. Et pour faire suite à mon message sur la formation professionnelle, savez pourquoi les syndicats adeptes du siphon et de la pompe à fric sont muets comme des carpes sur le sujet ?
    https://www.lyoncapitale.fr/actualite/formation-le-scandale-du-financement-des-syndicats/
    Ou encore : https://www.capital.fr/economie-politique/le-scandale-de-la-formation-professionnelle-suite-la-collecte-des-fonds-est-detournee-par-les-partenaires-sociaux-423399
    Et il suffit de faire une recherche sur son moteur préféré pour trouver pléthore d’articles.
    Alors quand on crie au loup que BlackRock serait à la manœuvre et que Macron serait à sa solde, je me dit, que d’autres sont déjà dans la place depuis bien longtemps et croquent allégrement ….. Et je me dis qu’ils en veulent certainement bien plus. BalckRock les rends fébrile …..
    Alors ces syndicats qui prétendent défendre les salariés …….

  6. @Onauratoutvu : Il est vrai qu’il est difficile de critiquer un système dont on accepte les subventions, je suis d’accord avec vous.
    Par contre suite à ça (je cite) »Pour quoi faire ? Quels sont les débouchés ? Ces étudiants se sont ils posé la question des débouchés concrets liés à ces cursus ? » je ne peux que m’insurger.
    Les jeunes ont le droit de choisir des études qui les mèneront vers un métier qui leur plaît. Si la société n’est pas capable de leur offrir ce métier, alors pourquoi effectivement laisser des cursus inutiles en place. En même temps travailler toute sa vie dans un métier qui ne plaît pas est pour moi un sacrifice de soi qui qu’aucun être humain de devrait avoir a subir. Gagner sa vie en la perdant n’est pas un objectif louable.
    Certains sont faits pour effectuer un travail concret, un travail manuel , un travail de production, d’autres pour la recherche, d’autres encore pour l’art, chacun d’entre eux mérite de trouver sa place et mérite reconnaissance.
    Mon père était mineur, il a travaillé « dans le trou » toute sa vie, sa retraite n’a pas durée bien longtemps, parce que dans le trou, finalement , il y est resté, il n’a donc pas coûté cher à l’état. Certes, il a nourri sa famille, mais à quel prix ?
    Vous trouvez ça normal que certains spéculent et que d’autres finissent si usées, qu’ils meurent avant même d’avoir pu commencer à vivre ? ll suffit des inégalités, des spéculations, ils suffit de ces vampires assoiffés qui n’hésitent pas à sacrifier les peuples et leurs enfants.
    Nous devons nous battre pour la justice, pour la fraternité, pour l’égalité et pour la liberté, et nous DEVONS GAGNER, car si nous les laissons faire, je ne donne pas cher de nos enfants, de la planète, de la vie tout simplement.
    C’est maintenant que nous devons relever la tête et marcher ensemble pour un monde meilleur.
    C’est maintenant ou jamais !

    • Copernic,
      Débat intéressant.
      Pour quelle raison ces cursus sont ils ouverts ? Et bien, posez la question à ceux qui les proposent. Que puis je vous répondre ? Je ne sais pas. Certains doivent y trouver un intérêt. Et puis si il y a de la demande, pourquoi ne pas satisfaire cette demande ? Cela s’appelle le commerce. Leclerc se contre fou de ce que vous allez faire avec votre boite de haricots que vous avez achetée 🙂
      Certains cursus ne permettent pas d’exercer un métier de prime abord, mais peuvent être d’excellents complément pour des personnes qui ont déjà un métier, des connaissances et qui souhaitent approfondir certains sujets, se spécialiser. C’est peut être aussi une explication.
      Certaines formations donnent des connaissances, et ne forment pas à un métier. Le futur métier, on se le fait soit même à travers le choix de ses options, ses choix de stage ou encore la logique et la cohérence dans tous ces choix. C’est peut être une autre explication pour certains cas. Ce qu’ils ont fait pendant 5 ou 8 ans, n’a aucune cohérence ni aucune finalité.
      Ensuite, qu’ils choisissent un métier qui leur plait, soit, pas de problème. Mais c’est leur problème s’ils n’y a pas de débouchés, pas celui de la société et de la collectivité. Il faut assumer ses choix. Et ensuite, il n’y aucune honte à se réorienter vers des disciplines porteuses. Mais vivre au crochet de la collectivité parce que l’on souhaite vivre la vie de ses rêves, je ne suis pas d’accord.
      Concernant les métiers qui plaisent ou ne plaisent pas. Je ne parlerai pas de métier, mais de secteur d’activité. Dans tout secteur d’activité, on peu trouver à travailler. Ensuite, c’est avant tout l’environnement de travail qui fait que l’on s’y sente bien ou non. Par contre, je vous rejoins, être infirmier si l’on ne supporte pas les activités médicales et le contact humain, ce n’est pas possible. Mais dans un hôpital, il n’y a pas que des infirmiers et des médecins. Ceci n’est qu’un exemple bien sur.
      Vous amenez le sujet de la pénibilité. Ce n’était pas le sujet de l’échange avec Martine, mais soit. Je vais vous répondre pour la nieme fois avec le sujet d’école et de la formation professionnelle. Formez vous, apprenez, développez des compétences et vous aurez plus de choix dans votre vie professionnelle. J’ai travaillé il y a 25 ans avec un jeune ex délinquant, orphelin, balladé de famille d’accueil en famille d’accueil. Ce jeune a trouvé un patron dans le BTP pour faire son apprentissage. Cette personne l’a prise en main. CAP/BEP, BAC Pro, BTS et pour finir, école d’ingénieur. Ce garçon est devenu patron d’une boite de 25 personnes ! C’est un exemple assez unique et peu reproductible, je suis d’accord. Mais sans aller jusque la, cet exemple montre que c’est possible. Obtenir un BTS quand on a un BAC Pro, faire de l’alternance, passez des certifications professionnelles. Aujourd’hui, Il y a moyen de ne pas passer 40 ans à faire la même chose et à se tuer sur les même taches répétitives. Taches qui seront d’ailleurs faites pour moins chères dans un pays émergent. Mais, c’est une prise de conscience personnelle, cela ne peut venir que des personnes concernées. Ensuite, les outils existent, nous sommes en 2020, plus en 1960.
      Ensuite, je ne trouve rien normal. Qu’est ce que cela veut dire normal ? Ce qui est normal pour certains, ne l’est pas pour d’autres. Je constate que le monde change, et très très vite. Que le monde offre de plus en plus de libertés aux gens (se former sur internet, communiquer, se déplacer dans le monde entier, entreprendre, faire des rencontres etc …) mais que ces changements font peur aux personnes qui se réveillent un beau jour et constatent que le monde est bien différent de ce qu’il était il y a encore 20 ans. La peur et l’appréhension sont compréhensibles. Il faut être fou pour ne pas avoir peur ni avoir d’appréhension. Mais le monde ne reviendra pas en arrière. Soit on s’adapte, soit on est éliminé, la sélection naturelle s’applique à l’espèce humaine, comme aux autres espèces, même si c’est d’une façon différente. Revenir en arrière, c’est se priver de ces nouvelles libertés et se rendre captif d’un système qui n’est plus adapté et qui rends les gens malheureux car de plus en plus déphasé avec le monde qui nous entoure. Monde je le rappel, imposé par 7 milliards de personnes contre 500 millions d’occidentaux et 60 millions de français ? Ni vous ni moi ne changerez le monde, alors il faut s’y adapter …… que cela plaise ou non.
      Dernière chose, chacun est libre de vivre sa vie comme il l’entends, mais c’est avant tout son propre problème, et il faut l’assumer par soit même si on ne souhaite pas adhérer au collectif. Ensuite, jalouser ceux qui ont d’autres modes de vie ou d’autres réussites, cela ne fait pas avancer les choses pour soit même, alors à quoi bon perdre son temps et son énergie ?
      Et enfin pour terminer, cette devise prends tout son sens dans le monde d’aujourd’hui : « Si tu te croises les bras, alors croise les doigts ». A tous les niveaux on peu faire soit même des choses, pour améliorer son quotidien. Si on compte sur les autres, il n’y pas de garantie.

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