Blanzy en mars en famille – Avec Peau de chagrin, une soirée déconcertante

Peau de chagrin, c’est aussi un classique d’Honoré de Balzac qui plonge le lecteur dans un univers fantastique un peu comme  le groupe Peau de chagrin qui samedi soir, dans le cadre de Blanzy en mars en famille, a donné rendez-vous à ses aminches avec leurs copains de l’asso « Boumkao » sous leur chapiteau planté au stade municipal.

Un chapiteau aux airs de bistrot des années Balzac où « on peut manger, picoler » et surtout passer une bonne soirée. Evidemment, toujours avec modération mais avec délectation quand l’accordéon s’est mis en action pour accompagner la gouaille du chanteur à béret. Les chansons d’époque prennent une autre dimension dans ce décor où même les mioches ont trouvé leur maître pour apprendre l’argot.

Un bout de saucisson, un canon de rouge aux fruits rouges et une chanson pour la note avec en prime la tournée du patron, voici pour l’ambiance Peau de chagrin. Quel chagrin quand les lumières du chapiteau se sont éteintes.

J.B.

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