Noir c’est noir. La carte postale de Samuel Brandily, candidat à la mairie de Saint-Vallier en mars 2020 parle d’elle-même. Le message qui l’accompagne, tout autant. L’idée est originale que vous soyez pour ou contre.
Aujourd’hui, incontestablement, l’éclairage public, son coût notamment avec des hausses très prévisibles de l’énergie, est un vrai débat qui, à Saint-Vallier, mérite d’être posé.
Effectivement Blanzy a totalement renouvelé et mis en place un éclairage public dit intelligent. Montceau va le faire et Sanvignes travaille le sujet.
La majorité actuelle à Saint-Vallier a fait le choix de couper l’éclairage public la nuit. Samuel Brandily souhaite le rétablir sous la même forme qu’à Blanzy. Voilà un choix que les électeurs valloiriens auront à trancher, entre autres.
Si les futurs candidats aux municipales à Saint-Vallier ont aussi dans l’idée d’ouvrir un caniparc, attention où vous mettez les pieds. L’idée est déposée et vous pourriez vous faire gronder. Parlez-en à votre chien, il saura, lui, vous conseiller.
Jean Bernard
Le communiqué de Saint-Vallier avec vous
Samuel Brandily en faveur
du retour de la lumière la nuit.
Depuis quelques années, la municipalité de Saint-Vallier a décidé, par soucis d’économie, de couper l’éclairage public la nuit. Désormais, la commune est plongée dès 22h45 dans le noir le plus complet. Hormis les membres de la majorité actuelle, peu de monde s’en réjouit.
Pourtant, d’autres solutions existent : Blanzy vient d’inaugurer son nouvel éclairage public LED, le projet est déjà bien avancé sur Montceau. Les études faites dans leurs communes montrent que les investissements seront financés par les économies réalisées sur le long terme.
Si je suis élu maire, je souhaite monter un projet similaire sur Saint-Vallier. Il s’agira, dans un premier temps, d’étudier le réseau actuel ; il est, par exemple, incroyable et dangereux que l’aire de covoiturage installée sur la bretelle de la RCEA n’ait pas le moindre éclairage… Le futur réseau devra pouvoir être contrôlé par logiciel, permettant ainsi de varier l’intensité lumineuse selon les heures de la nuit.
Une carte postale « Saint-Vallier by night », résumant ce projet, a été distribuée ce week-end à tous les habitants de Saint-Vallier. Si vous ne l’avez malencontreusement pas reçue ou si vous êtes intéressés par ce sujet, vous pouvez la demander en écrivant à saintvallieravecvous@gmail.com ou par téléphone au 06 23 55 61 25.
Samuel Brandily
Saint-Vallier avec vous
« C’est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains paraissent brillants avant d’avoir l’air con. »
C’est peut-être l’inverse : avoir l’air con et être au final brillant. Non ?
A manger du son, l’on devient âne….
Ça va être la fin de l’obscurantisme communiste
Bonjour,
Je pense que si vous voulez passer Maire il a bien d’autres choses a revoir à la mairie de Saint-Vallier que l’éclairage public. Celui qui sera Maire aura du boulot pour tout remettre en place. Beaucoup d’arrêt maladie pourquoi? posez-vous les bonnes questions. Il faut un Maire qui soit à l’écoute de ses employés et qui ne délègue pas tout le temps à des personnes incompétentes. Je pense que les employés ont besoin d’une écoute.
Il faut surtout un maire à plein temps !!! et non pas un maire avec des mandats tout au tour (…) !!!
Là il faut mettre les mains dans le cambouis et ça doit encore ne pas être le moment.
Bon 5 décembre Mme Didile.
A L’humain au centre de rien
Pourquoi vous me dite bon 5 décembre? que va t-il se passer ce jour là?
Mr Brandily nous explique comment il va dilapider les économies faites à ce jour.
Il me semble que vous n’avez pas lu l’article entièrement.
Paquerette 62, je croyais que le principe de faire des économies était justement de pouvoir réinvestir dans des équipements plus modernes pour pouvoir faire plus d’économie?
A moins que la municipalité actuelle compte continuer a vivre dans le 20e siècle (…)
Certes Sebastien, mais il faut être pragmatique. Par ailleurs je doute que la municipalité soit rétrograde.
Sébastien,
Que pensez vous de la transition énergétique et de la pollution lumineuse ? Au contraire de vous, je pense que ST VALLIER est dans le vrai, et de couper l éclairage nocturne est une vision du futur et non du 20ème siècle. Vous n avez rien compris
Je suis très au fait de la transition énergétique et de la pollution lumineuse. Et je confirme : couper l’éclairage est une vision du 20e siècle. Ce qu’il faut, c’est le rénover, pour qu’il soit moins consommateur en énergie, plus adapté et adaptable. Avec des éclairages modernes, ont peu baisser l’intensité pour ne pas gêner la faune et la flore sans être pour autant dans le noir complet.
Mr BRANDILLY,
j espère que vous avez regardé le reportage du journal de FRANCE 2 de ce jour concernant la pollution lumineuse et ses effets sur la biodiversité à RENNES. Cela prouve que vous êtes encore complètement à contre-courant.
Encore une idée utopique et peu pragmatique.
Nous commençons à penser que MR BRANDILLY a des idées peu lumineuses. Ça promet !!!!!!!
Qu’est-ce qui promet ?
Quelle bonne initiative !
Enfin quelqu’un qui met en avant ce problème, car oui, c’est un problème. Peut être que ceux qui ont décidé de couper la lumière ne sortent pas les soirs, ou bien ont la chance de rentrer directement dans le garage éclairé de leur jolie maison, mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Et quand on bosse de nuit (et oui, ça arrive!) et qu’en rentrant, on doit garer la voiture sur un parking public, le trajet jusqu’à chez soi est un véritable parcours du combattant… Heureusement qu’à l’heure actuelle, il y a des torches sur les téléphones, mais pour peu qu’on n’ait plus de batterie, ou qu’on n’ait pas de portable du tout, on est dans la m***e.
Eteindre, c’est la solution facile. Remplacer, c’est la solution utile.
L’intention de ce monsieur, s’il est élu, est honorable. J’espère qu’en pratique le projet est viable, mais comme il est très justement dit dans l’article, nos voisins l’ont fait, alors après tout, pourquoi pas ? On est quand même en 2019, le modernisme nous offre des tas de possibilités, les plus bêtes sont ceux qui n’en profitent pas.