Ce n’est pas l’affiche du dernier film de Jason Statham « En eaux troubles » avec un mégalodon, requin préhistorique, de la science-fiction pure et dure, ni Les dents de la mer. C’est Laura, en plongée urbex, sans palmes ni tuba que le regard de Stéph a projeté sur l’écran.
Une version d’urbex-fiction dans les profondeurs abyssales où l’image s’arrête quand notre imagination commence. Ou encore fiction à la Vernon Subutex pour regagner la surface, remonter « Despentes », retrouver l’air libre. Reprendre son souffle et replonger dans le grand bleu. Sans se faire bouffer !
J.B.
Rien compris à ce que c’est !