Il aurait aimé apprécier une bonne côte de boeuf du charolais et déguster un bon vin de bourgogne mais il est venu faire le job. La gastronomie attendra. Bruno le Maire est lui aussi en campagne électorale. Il sait mieux que quiconque que le président de la République a besoin d’une majorité à l’Assemblée nationale au soir du 19 juin, que la menace de la Nupes et du RN n’est pas à prendre à la légère.
Soutenir les candidats de la majorité présidentielle, telle est également son rôle surtout en cette période si troublée par l’inflation et la guerre en Ukraine. Aussi, est il venu ce vendredi à Chalon-sur-Saône puis à Montceau-les-Mines apporter ses encouragements aux candidats sur la 5e circonscription, Louis Margueritte, son ancien collaborateur à Bercy et sa suppléante, Marie-Claude Jarrot, maire de Montceau-les-Mines.
La meilleure équipe pour gagner
Bruno Le Maire connaît le contexte sur la 5e circonscription, qu’avec la candidature du maire de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret, la partie s’annonce serrée quand bien même espère-t-il une victoire éclatante du tandem Margueritte/Jarrot. « Louis (Margueritte) est un technicien qui connaît les enjeux économiques et ici, en Saône-et-Loire, ils sont majeurs. Il ne se contente pas de phrase à l’emporte-pièce ou des plateaux télé. Je préfère la compétence à la politique politicienne ».
Les propos du ministre des finances sont tout aussi élogieux en direction de Marie-Claude Jarrot, « une femme qui a une vraie hauteur de vue, qui fait preuve de discernement et d’humanité auprès des habitants de Montceau. Je suis fier et heureux qu’elle soit la suppléante de Louis. C’est la meilleure équipe paritaire et complémentaire pour gagner ».
A Bruno Le Maire ensuite d’entrer dans le dur quand il évoque les législatives qui sont un enjeu national décisif car qui « veut qu’on collectivise les entreprises, de la retraite à 60 ans, qu’on sorte de l’Union européenne ? » Ces options de la Nupes et du RN « mèneront la France et l’Etat à la faillite, au rabougrissement de notre pays ». Le ministre se veut mordant, conquérant et lucide à la fois. « Nous sommes des résistants, nous croyons aux qualités de la France, alors soyez combatifs alors même qu’un esprit défaitiste se répand en France. Soyez combatifs, c’est mieux que résignés. C’est le moment de montrer ce que nous avons dans les tripes, que nous avons le goût de la France ».
Un patron franco-allemand-polonais donne sa vision
Plus tard à Montceau-les-Mines et sans se concerter, au cours de la visite sur le site du Mecateamcluster où l’attendaient des chefs d’entreprise du Bassin minier, un Allemand qui a travaillé en Allemagne et en Pologne qui, depuis un an est le directeur du site Michelin Blanzy, résume la situation : « En France, c’est très simple, ce qui lui manque c’est l’optimisme » assure Sascha Kettler. Il regrette également que la France soit en retard sur l’environnement. Il milite pour l’intermodalité des transports par le rail, car « si nous pouvons démontrer que nous produisons en réduisant les émissions de CO2, le client est prêt à payer plus cher ».
Cette intervention laisse sans voix ses collègues et entendre dire : « C’est un Allemand qui témoigne de l’optimisme français ! »
Bruno le Maire écoute les patrons qui s’adressent à lui. Il sait qu’il est nécessaire de relocaliser des entreprises en France, baisser les charges sociales pour être plus compétitif, voter une loi sur le grand âge, mieux rémunérer les soignants, financer l’hôpital, être davantage à la hauteur des personnes handicapées. « C’est une politique coûteuse alors il faut accepter de travailler davantage ou sinon, la solution est d’augmenter la dette et les impôts des Français. Il n’y a pas de solution miracle. Nous disons la vérité quand d’autres se bercent d’illusions. Nous ferons dans la concertation et le dialogue, la réforme des retraites ».
Les demandes des patrons
Sur l’inflation, pas de recettes miracles non plus. Le gouvernement a bloqué le prix du gaz et de l’électricité, va revaloriser les retraites mais que les entreprises fassent leur part. « Je suggère que celles qui le peuvent, d’augmenter les salaires, qu’elles utilisent la prime Macron qui va être portée jusqu’à 6000 €. Mais la prime ne doit pas se substituer au salaire, c’est un complément. Pour un prêt, la prime ne compte pas ».
Baisser le coût de production par la baisse des charges patronales, rendre les lois du travail moins contraignantes, assouplir les réglementations, sont les principales demandes des chefs d’entreprise. Dernier point soulevé par le ministre, « pas de dividende aux actionnaires si l’entreprise ne verse pas d’intéressement aux salariés ».
Bruno Le Maire n’envoie pas du rêve. Puisse-t-il être aussi optimiste que le directeur de Michelin Blanzy. « Le plus difficile est devant nous mais l’Etat vous protège » dit-il en attendant de « sortir de l’inflation fin 2023 », estime-t-il.
Jean Bernard
Bonjour
C’était quoi? Une visite de ministre ? Une visite de campagne? Un mélange des genres?
Avec nos sous?
C’était une visite de campagne, sans aucune utilisation des moyens de l’Etat.
c’est à rire
« Baisser le coût de production par la baisse des charges patronales »
Et le coût du capital?
Dividendes versées aux actionnaires en 2021 en milliards d’euros: TOTALENERGIES 8,6 / BNP PARIBAS 5,4 / AXA 5,1 / SANOFI 4,6 / STELLANTIS 3,3 /……..
M. SILLA je vous rappelle que vous avez demandé à votre électorat et à tous les citoyens de voter Macron,
Avez vous perdu la mémoire ?
Vous avez joué et bien maintenant vous avez perdu, assumez vos paroles et arrêtez de vous plaindre
Merci
Monsieur Silla , votre raisonnement à l’emporte-pièce sur le « Capital » me parait assez mal fondé !
Ce qui d’ailleurs ne m’étonne pas , compte-tenu que les communistes ont toujours été et seront toujours de piètres économistes !
Parler de coût ou de rémunération du capital, c’est parler de la même chose.
De même pour le coût ou la rémunération du travail !
Ce qui est coût pour l’entreprise est rémunération pour le facteur de production concerné, aux prélèvements fiscaux près !
Travail et capital sont les deux facteurs de production indispensables à la vie de l’entreprise qui a besoin de l’un et de l’autre.
Privilégier l’un par rapport à l’autre, les salariés par rapport aux actionnaires, ou inversement, pour des raisons morales ou politiques n’a strictement aucun sens. C’est même à mon avis , profondément stupide !
Par définition, la rémunération du capital, au niveau de l’entreprise, est le profit net (que celui-ci soit réinvesti ou distribué), rapporté au capital total (les fonds propres).
D’après les chiffres mêmes du ministère de l’économie , les marges nettes des entreprises françaises sont inférieures de presque moitié à celles des entreprises allemandes.
A égalité d’intensité capitalistique , la rémunération du capital en France est égale à 60 % de ce qu’elle est en Allemagne, alors que le coût du travail est devenu chez nous largement supérieur.
Le redressement de notre appareil productif implique d’abord que l’on reconnaisse cet état de fait !
Ces profits médiocres sont ensuite soit réinvestis, soit distribués.
Certes , il vaudrait mieux encourager le réinvestissement et donc détaxer la part correspondante des bénéfices.
Mais accuser une partie (les dividendes), dont la croissance depuis quelques années est indéniable, d’être responsable des malheurs du tout est contraire à la vérité.
Le capital en France n’est pas « sur » mais « sous-rémunéré » !
Que l’insuffisance de la rémunération globale du capital pousse les marchés et, à travers eux, les actionnaires, à demander des taux de distribution plus élevés est vraisemblable.
Mais, même après cet effet de compensation, les sommes perçues restent par comparaison faibles : les dividendes nets annuels distribués représentent en France 4 % du PIB contre environ 10 % en Allemagne (source Eurostat).
Enfin, il ne faut pas oublier qu’il y a une troisième partie prenante : le « fisc » !
Sur un capital dont la rémunération globale est médiocre, l’Etat français prélève plus d’argent qu’aucun autre : le taux maximum de l’impôt sur les sociétés est aujourd’hui de 38 % en France contre 30 % en Allemagne, le taux marginal d’imposition des dividendes de 42 % contre 27 %.
Au total, les divers impôts sur les revenus du capital (ménages et entreprises) rapportent au fisc 10 % du PIB contre 6 % en Allemagne.
La différence, soit 4 points de PIB, est égale à la totalité des dividendes distribués en France.
Ces chiffres vous surprendront sans doute , mais ils émanent en droite ligne du ministère des finances publiques !
Oui, le niveau des marges de nos entreprises, la structure et le montant de la fiscalité française méritent un examen attentif menant à des réformes profondes.
Mais , fustiger sans cesse le « Capital » est comme un leurre qui vous permet d’entretenir le sacro-saint mythe de la lutte des classes afin d’éviter le vrai débat ! ( par exemple , le montant astronomique de subventions publiques (argent du contribuable) que votre parti reçoit annuellement )
Entre une infime minorité syndicale (vos clones de la CGT) qui n’à de cesse de « plomber » le tissu économique français et les partis « révolutionnaires » comme le vôtre qui passent leur temps couchés la bouche ouverte sous le tonneau de l’état providence en braillant qu’il n’est jamais assez rempli , les actionnaires ne sont pas les plus coupables !
Bien d’accord, il y a beaucoup de choses à revoir en évitant les caricatures.
À commencer par ne pas « privilégier » mais « rééquilibrer » : http://ses.ens-lyon.fr/articles/le-capital-au-xxie-siecle-224355
À comparer ce qui est comparable entre pays qui n’ont pas le même fonctionnement ni rapport public/privé : notre fisc redistribue (normalement) les prélèvements dans des services publics qui font que chaque citoyen quel que soit son revenu a accès à des complexes sportifs, des lieux culturels, des centres de santé….. pour des prix très modiques. (Effet collatéral : la France résiste mieux aux crises grâce aux maintien salarial des fonctionnaires! mais repart plus lentement (on ne peut pas tout avoir)). Ceci est un choix de société ma foi très envié il me semble (mais qui peut en effet être parfaitement débattu et questionné en permanence en fonction des crises environnementales et conjoncturelles). Par ailleurs, il y aurait d’abord à aller rechercher un fort manque à gagner pour une redistribution optimale : https://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/notes/2015/note51.pdf
(nota : Les cotisations sont plus faibles mais et donc le montant des retraites est plus faible en Allemagne qu’en France : https://data.oecd.org/fr/pension/taux-de-remplacement-nets-des-pensions.htm ; à contrario, les loyers sont plus faibles en Allemagne qu’en France (ceci compense cela…. Que choisir?).
Les dividendes se font en effet par rapport aux bénéfices, qui eux même sont en liens avec la qualité de marché d’une entreprise et la qualité de ses investissements : https://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/notes/2015/note51.pdf
Le « coût » du travail est donc à mettre en face avec les cotisations qui donnent droit à une retraite décente, une sécurité sociale, etc….. (choix de société dans un débat démocratique)
Mais au-delà de la technicité économique qui cache en fait souvent des biais idéologiques et des frontières psychiques, revenons sur les objets concrets : l’économie est un circuit fermé mondial dont l’argent en est le flux sanguin. Dans ce circuit, il existe des prélèvements de la part des divers acteurs économiques qui, une fois dans la « cellule pensante », choisissent de remettre du flux dans l’économie par des « achats choisis ». Le tout est donc d’étudier l’éthique des choix faits par tous les acteurs (organisés en groupes (l’État) ou individualisés (les libéraux)) en proportion de leurs captations (qui elles-mêmes nécessitent argumentaires et justifications).
L’argent circule-t-il alors dans des systèmes d’entre-soi ou bien bénéficie-t-il à l’ensemble du Vivant sur notre planète pour une vie équilibrée et saine? Voilà la question qualitative essentielle et la seule question qui vaille.
L’article du journal Les échos :
https://www.lesechos.fr/2014/03/non-le-cout-du-capital-nest-pas-trop-eleve-1101471
J’ignore si vous êtes vous-même un bon économiste, mais vous êtes assurément un spécialiste du copier-coller. En effet, après Étienne Klein l’an dernier et quelques autres emprunts, c’est au tour de Jean Peyrelevade et du journal Les Échos de vous « inspirer ».
La prochaine fois, ayez l’honnêteté d’indiquer vos sources.
Si on vous écoute Mr Silla, il suffit d’être actionnaire pour s’enrichir. Une action Totale coute 50 euros, une action BNP coute 50 euros, une action Sanofi c’est dans les 100 euros ……
Mais pour quelle raison vos affiliés n’achètent ils pas d’actions afin de s’enrichir ?
Votre combat n’est pas un combat pour l’amélioration des conditions de vie de vos affiliés (dans ce cas vous vous vous battriez pour la formation professionnelle et l’éducation, ce qui n’est pas le cas), mais un combat idéologique qui vise à éradiquer définitivement tout ce qui ne correspond pas à votre modèle. Un modèle contre la liberté, contre la démocratie, un modèle totalitaire.
Créez vos SCOP, créez votre structures économiques selon votre idéologie, rien ne s’y oppose en France, pays de liberté, et montrez nous que cela fonctionne, plutôt que de vivre au crochet de la société, de subventions et de prestations sociales !
Il est à noter que de très nombreuses sociétés dites privées bénéficient justement des subventions publiques. Toutes les start-up du monde numérique ont par exemple émergé grâce aux subventions des recherches militaires, universitaires et donc étatiques (plus ou moins en partie selon le pourcentage adossé à la recherche et développement des entreprises : https://www.financeinnovation.fr/2022/01/07/rapport-les-investissements-en-rd-industrielle-au-sein-de-lue/ ). Plus troublant est aussi le sauvetage des banques privées par l’argent public en 2008, banques qui bénéficient donc indirectement de la stabilité des États et de leur grande capacité de résilience. J’ose à peine aussi évoquer les cabinets médicaux « libéraux » actuellement construits par nos impôts (Centre de Santé 71, Esculape, …..), etc….. etc…… Attention, je ne dis pas que c’est pas bien, je fais simplement observer un léger biais entre le discours théorique et les pratiques.
Toutes (ou presque) les associations « privées » reçoivent également des subventions directes (monétisation) ou indirectes (locaux, matériels, personnel à disposition) de la part des communes où elles ont leur siège.
La véritable liberté serait de rendre compatible la cohabitation et l’interdépendance de tous ces systèmes économiques si divers qui ont toute leur place en ce monde pour survivre face à l’entropie physique de nos lois naturelles.
Tous les chefs d’entreprises « capitalistes » qui réfléchissent ont parfaitement conscience de ces questions vitales et de la limite, voire la trajectoire destructrice du système action-production-consommation-dividende : https://arsindustrialis.org
Il est également à réfléchir sur la captation salariale d’un travail donné. Ce serait ainsi une meilleure manière d’aborder les valeurs du travail fait en fonction de son utilité sociale, environnementale, économique, de ses compétences et de ses valeurs techniques ajoutées. Ainsi pourrait-on remettre à plat la distribution arbitraire des rapports travail/salaire, du financement global (État) ou par silos (Actionnaires) de manière plus concrète et en lien avec le réel pour décider ce qui profiterait à tous et ce qui resterait la propriété légitime de quelques uns selon chaque objet et chaque activité définies. Vaste conversation démocratique en perspective……..
Ce qui est étonnant avec certains « DUPES » ,c’est que systématiquement il reviennent au CAC 40 . Les entreprises du CAC 40 emploient 5,1 millions de salariés soit 1 salarié sur 5 donc le CAC 40 paient 20% des charges sociales que l’état perçoit . Les actionnaires du CAC 40 ont engagés leurs deniers dans ces sociétés qui rapportent beaucoup d’argent entre les charges , les impots qu’ils paient à l’état ; alors vous allez leur demander de vous « donner » ce qui leur revient ? L’envie est un des 7 péchés capitaux .
Les français ne se laisseront pas « dupés » avec votre alliance contre nature .
Ce qui « revient » est un pur arbitrage. Comment se décide qu’un emploi « vaut » 1500 ou 3000 euros par mois ou « vaut » 10000 euros par mois? Qu’un dividende est de 3%? 7%? 15%? Quels critères? Quels justifications? La « valeur ajoutée » (de quel ordre? de quelle nature?) ? La prise de risque? (les « escrocs » de la crise 2008 ont-ils été condamnés?) L’engagement financier par la dette ? par une banque de crédit? par les effets de levier? par les jetons de présence?
Et il est aussi à prendre en compte l’héritage, les assurances (dont l’État qui éponge certaines dettes privées) et les responsabilités partagées.
Il est évoqué plus souvent le CAC40 car c’est bien ici comme vous le soulignez bien que se concentre 1/5ème de la richesse de l’économie française, donc un effet de loupe, agrandi par les actualités télévisées qui parlent moins des PME et encore moins des Artisans, mais plus des « affaires » et de délocalisations-relocalisations, des marchés géopolitiques (ALENA, OMC….) et du cours boursier quotidien….. du CAC40!
Ce n’est pas de « l’envie », c’est une volonté de « justice sociale » : « tout travail mérite salaire » (loi contractuelle) et « tout homme par sa naissance mérite une place dans la société en fonction de ses compétences et ses qualités par l’aménagement d’un travail qui bénéficie à l’ensemble du groupe une fois adapté et formé par l’ensemble du corps social » (DUDH – j’ai modifié les termes pour les préciser).
Les écarts salariaux sont normaux et justifiés par les différences de formation, de technicité, de réussite économique, d’utilité sociale (pour ce dernier cas, nous sommes actuellement dans une norme inversée) et de prise de risque (cette dernière pouvant être amenuisée), mais depuis que ces écarts ont de nouveau explosé ( https://fr.statista.com/statistiques/1264152/rapport-disparite-salariale-riche-pauvre/ ), le ciment social se dérobe, se fissure par conséquence puisque le sentiment de « sacrifice » ne semble pas le même pour tous les individus en ce temps de la plus grande Crise transformative de nos sociétés (fin de la croissance, fin de l’énergie bon marché).
Et cela fut ainsi dans toutes l’Histoire des Hommes, se terminant toujours par une « guerre » dont l’issue et les changements de régimes sont toujours incertains mais qui remet toujours les compteurs à zéro par un champs de ruines et de morts. Pas génial comme scénario…….. comme si l’humain n’apprenait jamais de ses erreurs à travers les générations…….
– Un ministre en exercice , de plus hors de sa circonscription , n’est-il pas tenu de respecter un devoir de réserve en période électorale ? La règle serait-elle sujette à assouplissements ?
Merci à M. Le Maire pour cette visite sur notre territoire qui lui a permis de constater nos atouts.
Louis Margueritte saura porter nos préoccupations et nos dossiers.
Saisissons la chance que nous avons d’envoyer enfin à Paris un député utile et efficace.
Utile comme l’ex député de la circonscription, Léa, depuis quand avez vous vus qu’un parachuté est utile à une circonscription…et, ne vous leurrez pas, si votre « favori » est battu……ce qui risque même d’arriver sitôt le 1 er tour, jamais vous en entendrez reparler
Pareil que le députe fantôme de Gauvin et sa suppléante Ghulam qui n’ont rien fait pour le bassin minier ?
Léa , pas la peine de l’envoyer , il habite Paris où il est dans le cabinet de Lemaire!!!! non, choisissez des locaux , les parachutés par temps de grands vent atterrissent loin d’ici!
Qu’il accepte déjà de baisser d’avantage ses émoluments, ses privilèges coûteux et afin d’aligner son régime retraite à celui des salariés avec les nouvelles réformes que vont nous imposer le gouvernement dans lequel il est ! Ensuite il sera légitime pour venir nous dire ce qu’il faut que l’on accepte d’avantage ! Faite ce que moi je ne m’impose pas, et votez pour nous les d…..s !
Je suis pantois devant la richesse de certaines contributions !
Merci à ceux qui ont consacré du temps pour partager leurs connaissances et à l’ Informateur. pour les avoir publiées.