Ils ont bien tenté de s’accrocher aux structures, de peser de tout leur poids mais sur les coups de 20h, le vent a été le plus fort. « A un moment, on a lâché, on ne voulait pas jouer à Marie Poppins » raconte avec humour un gilet jaune.
Ce soir, vers 21h au camp du Magny, ils ne sont plus très nombreux. De toute manière, impossible dans la nuit de penser à réparer. « On viendra plus tôt demain matin (samedi) ».
Tout n’est pas à remonter ou à détordre mais voilà du travail dont ce serait bien passé les gilets jaunes à quelques heures de l’acte IV du mouvement populaire.
J.B.