Le 13e festival Outre Mer en Bourgogne a pris fin ce dimanche 15 mai 2022 avec la vente-expo organisé au pôle associatif de la Sablière avec toujours en fil rouge, l’abolition de l’esclavage dont le festival en partage l’histoire avec notamment cette année, la mise en route du circuit mémoriel et pédagogique qui a vu l’inauguration de la première des onze plaques, place de la Capitainerie à Montceau-les-Mines.
Ce festival a été aussi l’occasion d’intensifier les liens privilégiés entre la Martinique et la Saône-et-Loire et amorcer le jumelage entre Saint-Joseph et Montceau-les-Mines.
Outre Christiane Mathos, présidente des Amis des Antilles et présidente du festival, toujours au four et au moulin le temps des festivités, la mémoire de l’esclavage a également mobilisé le conseil municipal jeune de Montceau qui s’est imprégné de cette histoire partagée. Le combat contre l’esclavage, les jeunes conseillers l’ont approché au cours du festival, trois d’entre eux, Kaïs (lycée Parriat), Andréa (lycée Haigneré) et Nolan (collège Saint Exupéry), vont le toucher du doigt en se rendant en Martinique dès ce mercredi pour huit jours avec une délégation conduite par Christiane Mathos. Décollage à 12h20 d’Orly et après 8 heures de vol, ils atterriront à Fort de France.
« Ils vont représenter la ville de Montceau-les-Mines, participer à des séances de travail au lycée Joseph Dumas à Schoelcher et prendre part aux commémorations de l’histoire de l’esclavage » indique la présidente du festival qui a remis, symboliquement, les billets d’avion aux jeunes montcelliens pour les remercier de leur engagement. Ils seront accompagnés par Frédéric Marinot, conseil municipal délégué à la jeunesse, Christiane Mathos bien évidemment, deux membres de la Fondation pour la Mémoire de l’Esclavage et des Amis des Antilles, soit 15 personnes au total.
Un voyage en Martinique initiatique où la délégation va marcher sur les pas et les terres et celles et ceux qui menèrent un combat contre l’esclavage.
Jean Bernard
Toujours curieux, j’ai fait quelques recherches sur ce que fut l’esclavage et j’ai été surpris.
« Dans sa chronique, l’historien Samuel Touron évoque un pan de l’histoire peu étudié : la traite des esclaves blancs en Barbarie qui concerna entre 1,3 millions et 2,5 millions de personnes dont une partie du Sud de la France, l’actuelle Provence et le Languedoc »
« Quelle est l’ampleur du phénomène ? Un auteur ( Robert Davis ) estime à plus d’un million le nombre d’Européens asservis en Afrique du Nord entre 1530 et 1780. Vers 1675, les esclaves chrétiens formaient le quart de la population d’Alger »
Aurions nous une mémoire sélective ?
ça commence à lasser , y’a plus préoccupant proche de nous, et il faut arrêter de faire croire que les Français de l’époque étaient des barbares, relisez l’histoire du monde, ont est dans les plus gentils!! donc faut arrêtez de nous demander des excuses sans arrêt! !,comme dit la fable, a force de crier au loup etc etc
C’est justement parce-que nous sommes facilement « culpabilisable », soumis, que les nouveaux arrivants dans notre pays prennent le dessus sur notre peuple… Et ce n’est pas terminé ! Car si 80% des Français de souches sont opposés à la tombée de nos piliers qui s’écroulent au fur et à mesure, juste par la volonté électoralistes des politiciens, rien n’arrête le bulldozer ! Madame Matos fait du très bon travail ! À côté de ça les islamistes gagnent dans les universités, les cantines, les piscines, les commerces, les rues, contre nos coutumes, notre religion etc… Et le discours rodé pour faire passer le panier de carottes c’est taxer de racistes tout ceux qui osent crier au scandale, laissant les vrais racistes prendre le dessus sur notre pays. Jusqu’à quand l’acceptation, ça bouillonne ?