GPO, groupement de partenariat opérationnel, voilà la nouvelle arme de la police nationale pour lutter contre l’insécurité dans les quartiers.
A l’origine, début 2018, il fut question de Police de la Sécurité du Quotidien, ça ressemblait à la Police de Proximité avec un nouvel emballage et au goût similaire.
Et puis comme l’a expliqué le commandant Berthelon, du commissariat de police de Montceau-les-Mines en réunion jeudi soir avec les habitants de la cité Léon Blum à Sanvignes, « la sécurité n’est pas seulement l’affaire de la police ». Désormais, on ne parle plus de PSQ (police de la sécurité au quotidien) mais de SP, la sécurité au quotidien. Le mot police a disparu de la circulation.
Un référent policier à Sanvignes dans le cadre du GPO
Et la sécurité au quotidien, nous y revenons, c’est l’affaire de tous, vous, ou vous, élus, pas élus, bailleurs sociaux, en somme les acteurs locaux qui avec l’appui d’un référent policier, auront pour tâche de résoudre les problèmes de sécurité dans les quartiers du Bassin minier d’où le groupement de partenariat opérationnel qui ne l’est pas encore tout à fait, « c’est en train de se mettre en place » précise le commandant.
La commune de Sanvignes connaît déjà son référent policier, il s’agit du brigadier Bertrand qui accompagnait le commandant Berthelon ce jeudi soir.
Et comme à Sanvignes, notamment à la cité Léon Blum où ces dernières semaines, les nuits n’ont pas manqué d’être agitées, étant donné que tout le monde ou presque, connaît les délinquants, que tout le monde ou presque sait qui sont les auteurs des incivilités qui perturbent la vie quotidienne de Sanvignards _ des noms ont été cités _ , grâce au GPO, le calme devrait revenir rapidement. C’est la théorie. En pratique, c’est une autre affaire.
Le GPO couplé à la participation citoyenne, les délinquants n’ont qu’à bien se tenir.
A cette réunion de quartier, ciblée Léon Blum, en présence du maire, Jean-Claude Lagrange, les derniers événements, notamment l’incendie du pignon de la résidence Louis Veillaud furent évoqués. Où en est l’enquête ? « Elle est en cours » se contente de préciser le commandant. « Des prélèvements ont été effectués et envoyés à des laboratoires ».
Jean Bernard
Pourtant on entend dire régulièrement dans les médiats qu’il n’y a pas de problèmes dans les quartiers, ce serait juste de la stigmatisation. Sinon ils peuvent faire comme à Saint Vallier et installer un city pour amuser les truands. Content que cela bouge enfin.
Franck oui pas de problèmes stigmatisation, cela c’est le discours des élus de gauche encore encartés un peu partout en France, ils minimisent , ne font rien contre, exemple pas de vidéo de surveillance, Incivilité.. Ha bon… alors qu’il y a de plus en plus d’ actes criminels.. Ces élus ne sont tellement plus crédibles que maintenant cela leur explose à la figure.
y a du boulot, qu’ils viennent aussi au rive du plessis stoper les motos qui nous pourrissent la vie avec leurs passages incessant jusqu’à tard la nuit.
Dodie vous allez être accusé de stigmatisation, voir de racisme. C’est efficace et ça permet de balayer de la main toutes réprimandes . Et on s’étonne que le RN monte.
Et après ont s étonné que Marine lepen fasse un carton plein ,ne vous inquiétez pas dans très peu de temps ces gens là vont mettre de l ordre