ils pleurent la bouche pleine,allez travailler dans le privé,vous saurez ce que le mot :travailler veut dire au lieu de penser qu a ameliorer vos avantages sociaux
Nous sommes dans un pays libre, ou chacun peut démissionner et changer de crémerie. Certaines personnes s’épanouissent dans la fonction publique, d’autres dans le privé. Si une personne ne se sent pas à sa place, elle peut changer, c’est juste une question de volonté et de courage.
Alors de grâce arrêtez avec ce genre de discours d’un autre âge. Nous sommes en 2020, le monde a changé ….
Il ne s’agit pas de pleurer, il s’agit seulement de préciser à tous ceux qui le pensent, qui l’écrivent ici ou là, ou qui le propagent, que le statut de fonctionnaire N’EST PAS un statut « privilégié ». Ce statut a été inventé pour garantir la neutralité et la pérénnité des agents, et donc la continuité du service à la population malgré les changements politiques. Ce système a d’ailleurs fait ses preuves lors de la crise financière de 2008, faisant office de « matelas » anti faillite.
Le choix politique (donc de l’ensemble des citoyens) revient à décider ce qui relèvera du domaine public, donc des impôts, ou d’un autre côté du domaine privé, donc du paiement individuel, et là, rien n’est gravé dans le marbre, un hôpital peut être soit public, soit privé, c’est un choix. Ma préférence allant à une économie mixte subtilement équilibrée…
C’est bien vous qui parlez de « pleurer ». Pour a aprt j’évoque les libertés chacun, libertés que vous semblez ignorer.
Votre vision est bien caricaturale. Il est tout à fait possible que le privé assure un service public, via délégation. De très nombreux services sont dans ce cas aujourd’hui.
Beaucoup de salariés du privé assurent des services publics. Il n’y pas que les fonctionnaires qui assurent ces services.
Sommes-nous donc si « libres » que cela. Le taux de chômage nous rappelle que ce n’est pas si simple. Vous confondez statut et service. C’est vous qui avez une vision caricaturale de l’économie. Les délégations, beaucoup de municipalités ont choisi de reprendre en main le service de l’eau, à ceci près qu’une délégation est nécessaire quand le métier n’est pas représenté dans le public, ou quand les élus décident comme vous de tout privatiser, considérant que c’est l’eldorado, l’alpha et l’oméga de l’économie. Bref, nous demeurerons toujours coincés dans ce débat interminable et stérile de la liberté individuelle à concilier avec l’intérêt général. Alors adios amigos….
Même si je ne comprends pas bien le message qui est passé, moi ce que je vois c’est que si les employés municipaux ressentent le besoin de faire des communiqués de presse c’est qu’il est temps de repenser la politique sociale de la mairie car le malêtre doit être grand…
Ca la fout mal pour une majorité communiste…
Désolé je ne vois pas quel message vous voulez faire passer.
ils pleurent la bouche pleine,allez travailler dans le privé,vous saurez ce que le mot :travailler veut dire au lieu de penser qu a ameliorer vos avantages sociaux
Nous sommes dans un pays libre, ou chacun peut démissionner et changer de crémerie. Certaines personnes s’épanouissent dans la fonction publique, d’autres dans le privé. Si une personne ne se sent pas à sa place, elle peut changer, c’est juste une question de volonté et de courage.
Alors de grâce arrêtez avec ce genre de discours d’un autre âge. Nous sommes en 2020, le monde a changé ….
Il ne s’agit pas de pleurer, il s’agit seulement de préciser à tous ceux qui le pensent, qui l’écrivent ici ou là, ou qui le propagent, que le statut de fonctionnaire N’EST PAS un statut « privilégié ». Ce statut a été inventé pour garantir la neutralité et la pérénnité des agents, et donc la continuité du service à la population malgré les changements politiques. Ce système a d’ailleurs fait ses preuves lors de la crise financière de 2008, faisant office de « matelas » anti faillite.
Le choix politique (donc de l’ensemble des citoyens) revient à décider ce qui relèvera du domaine public, donc des impôts, ou d’un autre côté du domaine privé, donc du paiement individuel, et là, rien n’est gravé dans le marbre, un hôpital peut être soit public, soit privé, c’est un choix. Ma préférence allant à une économie mixte subtilement équilibrée…
C’est bien vous qui parlez de « pleurer ». Pour a aprt j’évoque les libertés chacun, libertés que vous semblez ignorer.
Votre vision est bien caricaturale. Il est tout à fait possible que le privé assure un service public, via délégation. De très nombreux services sont dans ce cas aujourd’hui.
Beaucoup de salariés du privé assurent des services publics. Il n’y pas que les fonctionnaires qui assurent ces services.
Sommes-nous donc si « libres » que cela. Le taux de chômage nous rappelle que ce n’est pas si simple. Vous confondez statut et service. C’est vous qui avez une vision caricaturale de l’économie. Les délégations, beaucoup de municipalités ont choisi de reprendre en main le service de l’eau, à ceci près qu’une délégation est nécessaire quand le métier n’est pas représenté dans le public, ou quand les élus décident comme vous de tout privatiser, considérant que c’est l’eldorado, l’alpha et l’oméga de l’économie. Bref, nous demeurerons toujours coincés dans ce débat interminable et stérile de la liberté individuelle à concilier avec l’intérêt général. Alors adios amigos….
Même si je ne comprends pas bien le message qui est passé, moi ce que je vois c’est que si les employés municipaux ressentent le besoin de faire des communiqués de presse c’est qu’il est temps de repenser la politique sociale de la mairie car le malêtre doit être grand…
Ca la fout mal pour une majorité communiste…