Voitures incendiées, container brûlé et maintenant bagarre au city stade. Le quartier du Bey aux Gautherets à Saint-Vallier revient en force dans l’actualité.
Dernier fait en date, ce mercredi 15 juillet 2020 aux alentours de 18h30 du côté du city stade. De jeunes ados jouent quand d’autres arrivent. « Ils ne sont pas du quartier » dit-on.
Les esprits s’échauffent pour une raison inconnue entre le terrain de boules et l’aire de jeu. Et la distribution de coups de poing commence. Heureusement, Yohann, le médiateur qui gère les activités des jeunes du quartier est à proximité et s’interpose. Non loin de là, se tient David Swiatek, nouvellement élu adjoint à la municipalité.
La situation est néanmoins compliquée alors Yohann demande à l’adjoint d’appeler la police, ce qu’il fait.
A l’ arrivée des force de l’ordre, le calme est revenu. « C’était fini quand nous nous sommes rendus sur place » confirme le commissariat de police qui a noté que l’échauffourée a concerné une trentaine d’individus.
Les caméras de vidéosurveillance aideront peut-être à identifier les auteurs de la bagarre.
Jean Bernard
La commune dépense de l argent pour que le bey retrouve son calme et voila le résultats ca ne dure pas peut-être serait il temps de passer par la case prison pour les coupable il va être temps que ca cesse les contribuable en on marre de ce retrouver a chaque fois démunis une voiture n ai pas un luxe mais un besoin a méditer
Là, la délation serait utile !
@Enfin,
Ah, ah, ah, les principes à géométrie variable !
Belle crédibilité !
Faut savoir s’adapter !
Là, c’est autrement plus grave qu’une voiture en travers.
Pourquoi plus grave ? Y a pas non plus mort d’homme !
Pour @Enfin, il y a incivilité et incivilité 😉 Celles qu’il doit pratiquer et les autres qui sont par définition plus graves ;-).
Il a la science infuse, la sienne 🙂
C’est quand même pas si compliqué à comprendre ! LOL
Le bey a toujours été mouvementé 43 ans que j habite le secteur ,le médiateur fait un boulot exemplaires mais il ne peut pas êtres ici H24 pour ce qui est des force de l ordre elle sont les mains liées arrêté les malfrats a quoi bon la justice suis pas il sont dans la nature aussi tôt ce qu il faut cerner le groupe trouver la brebis galeuse le meneur de troupe et si moins de 18ans maison de correction une réaction ferme doit être envisagé les riverains sont exténuée
En fait la ville, comme les autres villes en France sont convaincues que tous les problèmes se résolvent avec des city-stades ! Lol ce sont juste les types quand ils passent devants le juge qui inventent ça avec la complicité de leurs avocats pour trouver une excuse à leurs agissements abjectS. Il y a aussi le fait qu’ils soient pauvres. Lol on a été des tas de gosses de quartiers ouvriers à être dans la précarité on a jamais brûlé, agressés et détruits ! Mais le Français transige et croit à ces discours pipés, le jeux ne se muscle pas donc les problèmes continuent. A quand une vraie politique face à cette délinquance importé ? car on peux lire maintenant « qu’il y a plus grave » donc sa y’est Nous y sommes, l’acceptation et l’habitude comme dans les grandes villes !
Je partage votre point de vue Franck. Tout semble normal dans nos villes d’aujourd’hui. Malheureusement, il y a ceux qui crient à la délation quand on souligne une incivilité. Ce n’est pas bien grave…. comme ils disent ou bien on brandit la banderole historique ! Il y a ceux qui refusent de voir… c’est tellement plus simple. Il est temps d’éveiller les consciences. Le bien vivre ensemble, ça commence par se garer sur les places de stationnement. Le bien vivre ensemble, c’est respecter les structures mises en place….
Croyez bien que ceux qui crient à la délation sont justement ceux dont on doit se méfier. Ce qu’ils appellent délation c’est la condamnation de leurs comportements crapuleux. Pour pouvoir voler tranquillement mieux vaut se battre contre les caméras de rues. Une technique totalement cousue de fil rouge mais qui fonctionne en France. On mélange tout pour brouiller les cartes et semer le doute dans les esprits. Il y a une différence entre la délation abjecte des Juifs pendant la guerre et rapporter son témoignage contre des actes crapuleux qui ont fait des victimes.