Quand sur le territoire de la communauté urbaine on parle d’état des routes et de sécurité qui s’y rapporte, la rue Jean-Baptiste Philippon à Saint-Vallier en est l’exemple type. Hélas, elle n’est pas la seule. En ville ou en dehors, les voies de communication se dégradent au grand dam des automobilistes.
Alors qui mieux à Saint-Vallier que Alain Philibert, maire et vice-président de la CUCM chargé notamment de la voirie et de la sécurité, pouvait défendre le projet de sécurisation et d’aménagement de la rue Jean-Baptiste Philippon ?
Cette rue est anxiogène car ce n’est pas la première fois que ses 2.1 kilomètres de long reviennent dans l’actualité. Une rue où les riverains se plaignent régulièrement et principalement de la vitesse excessive des véhicules. Une rue qui, logiquement est empruntée par ses habitants mais qui l’est également par d’autres qui la préfèrent à l’avenue Jean Jaurès, parallèle à la rue Philippon mais qui parfois est soumise aux contrôles de vitesse, où il faut s’arrêter éventuellement aux feux et qui se termine en direction du bourg par des ralentisseurs qui ralentissent. Bref, la rue Philippon est plus peinarde.
Lucie Kiener-Calvet, responsable du bureau d’études voiries et espaces publics à la communauté urbaine s’est penchée sur le sujet et mardi matin, en présence de David Marti, président de la CUCM, elle est venue dresser une ébauche de ce à quoi pourrait ressembler la « future » rue Philippon devant tout le bureau municipal (le maire et ses adjoints). C’était jour de rentrée scolaro-municipale à Saint-Vallier après les vacances.
Que pourrait faire la communauté urbaine avec une enveloppe de 60 000 € ? Recalibrer la voie à 5.5 mètres de largeur, installer des écluses (passage d’une voiture à la fois), reprofiler la chaussée, sécuriser les carrefours avec des trottoirs, le travail ne manque pas. « Mais ce ne sont que des pistes de réflexions » prévient Lucie Kiener-Calvet.
60 000 € ? Un budget qui risque d’être nettement insuffisant. Une piste cyclable comme l’espérait Danielle Lucien, même pas en rêve ! « Nous aurons à identifier les priorités » décoche alors David Marti. « Il faut une rallonge » lui rétorque Alain Philibert.
Une fois d’accord sur les priorités, les travaux pourraient débuter d’ici la fin de l’année.
Jean Bernard
Il n’y a pas que la rue philippon qui ai dans cette état la, la rue titus bartholi ai bien pire et les gens roule à toute allure alors qu’il y a un gymnase à proximité….. Et les bus dans la rue jeannine thavaux qui sont très dangereux et qui monte sur les terrains des habitant c’est normale aussi sa que les gens paye des terrains hors de prix et ne sont même pas chez eux ? Du gros n’importe quoi……. Encors des bonnes tête pensente sa…….. Mais là guerre des bus sera loin d’être fini……