Montceau – Là-haut à l’Embarcadère, c’est la galerie de l’espoir

 

Y a du Dali dans LinkubA-r-teur, un peu de persistance de la mémoire au même titre que l’espoir est un sentiment optimisme. Et l’art, justement, la peinture notamment, permet de jouer sur une palette d’espoir qui « est un thème puissant, l’essence même de l’humanité » rappelle  Sibdella Subtil, présidente de l’association LinkubA-r-teur qui a fêté son premier anniversaire en octobre dernier et dont quatre artistes, exposent depuis cette fin de semaine à la galerie haute de l’Embarcadère de Montceau-les-Mines.

Elles sont quatre peintres, chacune avec son approche, sa vision et sa touche personnelle à exprimer l’espoir ou ce que l’espoir a inspiré au bout du pinceau ou de la plume. « Dans la quête de l’infini espoir, les artistes sont des messagers » souligne la présidente. Toutes naviguent dans un univers ouvert à tous pour émouvoir et connecter les âmes de l’espoir.

La plus connue des artistes, Isabelle Nugues qui a fait les beaux jours de l’école de peinture de Pouilloux avant de migrer à Neuvy-Granchamp, a cherché l’inspiration à travers Camille Claudel; Elen Eugénie a plus d’une corde à sa harpe, elle est musicienne, chanteuse, poète et « je dessine des circonvolutions sur le chemin de mes pensées ». Elle ajoute: « On trouve la lumière, ça fait du bien. Grâce à l’espoir, on arrive à s’en sortir ».

Amélie Cogneau qu’on appelle C Lala Ki la Fée, c’est l’espoir de l’écologie par le prisme du « panda libre » qui éclaire sa peinture alors que Christelle Fancellu a sans doute trouver la réponse à la question, pourquoi la vache qui rit, rit. Parce que le rire est communicatif quand les prés rient.

Voici pourquoi nous « avons tant besoin d’espoir » admet Jocelyne Buchalik, adjointe au maire à l’heure du vernissage.

 

Jean Bernard

 

 

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