Jacques Audiard a-t-il inspiré Marie-Claude Jarrot pour ses voeux aux forces vives de Montceau-les-Mines, lui l’auteur du film « De battre mon coeur s’est arrêté » ? La magie du cinéma au service de la réalité d’une cité en quête de reconquête, d’un mieux vivre, d’un renouveau charismatique que l’équipe municipale met en oeuvre depuis quatre ans, presque cinq, avec cette conviction de conquérir le coeur des Montcelliennes et Montcelliens. « Pour que nous en ayons le coeur net, ce film (sur Montceau par celui d’Audiard), rappelle notre engagement collectif et la charge de notre mission au service de la population » déclare d’entrée madame le maire.
« Cinq années qui ont permis de redonner, je le crois, de la confiance et de l’espoir ».
Marie-Claude Jarrot, dame de coeur, en pensée, en paroles. « J’ai prononcé 31 fois le mot coeur parce qu’avec vous, Montceau a le coeur qui bat ». De battre mon coeur de s’arrête pas. Il a même repris du tonus, un coup de boost avec le dispositif coeur de ville, « un nouveau départ, un sacré coup d »accélérateur en direction de la rénovation urbaine dont Montceau a tant besoin ». Une injection de sang neuf pour un coeur qui ne demande qu’à battre.
Une transformation en profondeur dont chacun des acteurs, artisans, commerçants, chefs d’entreprise, monde associatif « qui nous disent ce qu’ils ont sur le coeur et qui ont à coeur de faire avancer les choses » qui aujourd’hui se traduit ou va se traduire dans « une ville dont le coeur bat au rythme de son époque ».
Du coeur à l’ouvrage
C’est redonner une lisibilité aux structures culturelles (équipement de culture urbain, cinéma, skatepark), touristiques (rénovation du port, notamment) et sportives (Jean Bouveri dédié à la gym et peut-être aux JO 2024 comme base arrière, un vélodrome qui sera rénové, Salengro aussi), « il s’agit ni plus ni moins que de repenser la cité et de poursuivre le développement de la transformation profonde de notre commune ».
« C’est le coeur de notre action ».
Aujourd’hui, après un été long et compliqué, Montceau a retrouvé son calme « dont les habitants ont tant besoin ». Son coeur bat avec sérénité pour conduire ce projet « et nous ne laisserons à personne l’idée même de vouloir le freiner ou l’entraver ».
Marie-Claude Jarrot, dame de coeur avec un gant de velours dans une main de fer.
Jean Bernard
Son peuple se lamente et hurle sous les politiques qu’elle a toujours défendues … Elle fait du théâtre !
Ne mélangeons pas les chiffons et les serviettes , Jacques Audiard la grande classe , comparé a Madame Jarrot.
Pourquoi tant de haine ?