Dans ces moments-là, le regard est plus important que les mots. Se dire adieu est un déchirement mais ne rien dire est tout aussi difficile à entendre.
Samedi soir « Chez Josy », une foule d’amis est venue saluer la dame au grand coeur. Une dernière fois, ce lieu mythique de Montceau-les-Mines, a bu, chanté, ri, avant de « taper » la bise à Josy, l’accompagner jusqu’au bout de la nuit et lui souhaiter « santé bonheur » du côté de Ciry-le-Noble.
Pas de larme, beaucoup de sourire et d’amour, des gestes tendres pour se dire adieu ou ce n’est qu’un au revoir.
Les bords du canal du Centre ont vu s’éteindre une lumière qui depuis plus de trente ans, a fait se rencontrer, se déchirer, comploter, dénigrer, rabibocher les uns avec les autres. On venait au bar comme à la barre dire toute la vérité ou sa vérité avec ses mots. Mais on parlait, parfois trop.
Ici à la lueur des néons d’un autre âge, d’une déco d’un autre monde, la porte est toujours restée ouverte à quiconque. Josy a écouté, entendu, toujours avec la main sur le coeur.
Aujourd’hui, le rideau est tombé. Josy a fermé la porte à contrecoeur. Personne ne l’oubliera.
C’était bien, c’était chouette.
Jean Bernard
Comment pouvez vous expliquer que des établissements recevant du public se permettent de faire n’importe quoi. Sur les photos ont voient déambuler des individus qui sont des professeurs, et directeurs de certains établissements scolaires de Montceau-les-Mines sais du grand n’importe quoi on laisse faire les gens et on ira pleurer pour une deuxième vagues. Pauvre personnes irresponsables vous êtes pas des exemples à suivre
Fait pas bon d être votre voisin !!!! J. Imagine pas en 1940
Avant de critiquer ces comportements, tu aurais mieux fait de profiter du confinement pour travailler ton francais… Pauvre brebis du système.
Y a pas plus d épidémie, de seconde vague, (…)
Brice de Nice attend toujours la seconde vague