C’est le début d’un commencement comme dans un film quand on entend le clap de la première scène. Le scénario est connu, les acteurs ont revêtu leur costume _ le noir est de rigueur _ et chacun connaît son rôle.
Une première soirée inaugurale est toujours émouvante tant pour les producteurs, le réalisateur et toute la bande qui va donner le ton, faire du Cheffield à Montceau-les-Mines, ce lieu qu’on reverra une fois, puis une autre et encore un autre. On va se repasser le film en boucle.
Samedi, le Cheffield avec ses deux nouveaux gérants, Jonathan et Nicolas Vaison, ont frappé les trois coups. Le rideau s’est levé comme la brume au-dessus de l’eau pour dévoiler une nouvelle histoire avec un grand « C » qui veut dire Cheffield, comme dans la série télévisée, d’un « Z » qui veut dire Zorro.
C’est l’annonce d’un renouveau et en même temps d’une complicité entre ceux qui ont passé la main, Marie et Loïc qui, en la circonstance, ont contribué à alimenter toutes les fines bouches grâce au Bagatelle.
Samedi, le Cheffield a repris vie et quoi de mieux que le groupe Vital Funktion pour l’accompagner en musique sur les fonts baptismaux. Une belle renaissance.
J.B.
Bonne chance à ces jeunes, que cet etablissement au centre ville redonne de la vie .Que les montcelliens et autres s attachent eux aussi à participer au renouveau du centre ville…….. pour q une affaire marche, qu un centre ville de dynamise il faut au minimum deux choses: un commerce avec un bon accueil et des clients…..ça paraît simple sur le papier….!!!!………