La nouvelle année en deux mots

8 commentaires :

  1. désespoir profond !

    quelle désastre !
    aucune vision d’avenir pour notre jeunesse!
    pensé un peu au années 50 , 60 , 70
    le peuple était heureux , il pouvait faire des rêves , des projets a 20 ou 30 ans !
    souvenez vous les vrais présidents , Pompidou , de gaulle ,giscard!
    le France ,le concorde , le tgv , les plans d’infrastructure , les aéroports , les autoroutes !
    et main,tenant , le sot dans le néant , toujours moins de pouvoir d’achat , moins de médecin , moins de lits d’hôpital ,moins de médicaments , que du moins sans rien !
    mais que font ils du pognon de dingue qu’ils nous piquent !

    • plus ça va et plus ils en prennent et moins y'a de services publics

      Leur fameux enrichissement pour lequel les électeurs en redemandent sans interruption depuis 1974 ça doit être ça qui coûte cher ?
      Sinon depuis 1974 toujours aucun retour sur « investissement » alors taxons plus, détruisons ce qui marche et enrichissons encore d’avantage le pays, ça va bien finir par payer un jour …. comme en yougoslavie

  2. Au bout d’un an, Albert Camus épuisé par ses 150 éditos et articles quitte Combat. Il y reviendra fin 1946 mais pour peu de temps car il doit terminer « La Peste ». Le 3 juin 1947, la direction originelle cède Combat à Claude Bourdet et Henry Smadja, un financier tunisien. Dans un court communiqué, Albert Camus écrit : « Entrés pauvres dans ce quotidien, nous en sortons pauvres. Mais notre seule richesse a toujours résidé dans le respect que nous portions à nos lecteurs ».
    Tout au long des années 1960, le titre perd des lecteurs et disparaît définitivement en août 1974, un mois après le suicide d’Henri Smadja. La dernière Une de Combat s’intitule « Silence. On coule ! »

  3. Merci l’informateur, bons vœux de santé et de bonheur à toutes et tous, ne rien mettre sur le dos de l’autre c’est trop facile alors « en avant » et 2023 sera une belle année.
    GOV5

  4. Lorsque je lis certains commentaires je me dis qu’il nous reste une chose à faire: choisir entre corde!poison! Armes à feux!etc…..
    Terminé la sinistrose et restons positifs !
    Merci à l’informateur pour votre regard sur notre bassin de vie chaque jour et bonne et heureuse année 2023 à tous

  5. En avant pour 2023:C’est continuer la marche arrière,pendant que la caste dirigeante s’empiffre.Le peuple souffre ,certains ont déjà commencé.A force de reculer,lorsque l’on arrivera au niveau de vie de 1789,peut être que les gens commenceront à se révolter.Quand on voit un ministre de l’éducation nationale mettre ses enfants en école privée et accélérer la baisse du niveau des écoles publiques.Quand on voit un médecin urgentiste ,ministre de la santé qui continue à détruire l’hôpital public et ses services d’urgence(150 morts sur des brancards pour le mois de décembre par manque de soins). Quand on voit l Allemagne nous imposer la fermeture de nos centrales nucléaires par jalousie de notre supériorité énergétique alors qu’elle a remis en route ses centrales à charbon et à gaz qui est un désastre écologique(avec la complicité de nos dirigeants politiques,le pire ,ils osent nous donner des leçons d’économie et d’écologie afin de nous culpabiliser). Il y aurait tant à dire et à écrire sur notre système de gouvernance ,que nous simples citoyens, nous nous rendons bien compte que nous sommes sur une planche savonneuse pour aller plus vite vers le fond. Bon courage et meilleurs vœux malgré ce triste constat,soyons acteurs de notre destin et soyons dans l’action pour ne pas subir.

  6. Merci à l’informateur pour son message plein d’espoir au moins lui il réfléchit.

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