Entre l’intersyndicale et Mme le maire, la partie de ping pong s’éternise et nous ne voyons pas venir jeu, set et match. Du coup ayant recueilli la parole de la première magistrate nous nous devions de recueillir celle de l’intersyndicale.
Nous n’avons pas de raison de douter de la parole de Mme le maire et donc pas non plus de celle de l’Intersyndicale.
De ce fait, nous allons retransmettre ce qui nous a été dit.
1 – Sur le report de la réunion ordinaire du conseil de surveillance, l’Intersyndicale est claire : oui, elle a demandé son report parce que des documents extrêmement importants et préjudiciables venaient de lui être transmis et qu’elle n’avait pas eu le temps de les étudier. Par exemple la place et le rôle de Montceau dans l’association avec Chalon qui laissait Montceau à la traîne, la suppression actée de la chirurgie et de l’ambulatoire, etc.
2 – Depuis janvier l’intersyndicale a provoqué des réunions extraordinaires du CTE (CHSCT ailleurs) pour étudier au cas par cas les évolutions du dossier, elle attendait que Mme le maire en fasse autant, ce qui n’est jamais intervenu. On nous dit: ce n’est pas faute de sollicitations.
3 – Ce n’est pas en expliquant à la presse que l’intersyndicale ne veut pas de réunion que l’on rend lisible la réalité du dossier et que l’on éclaire le manque de pugnacité dans le combat de la part de la présidente du conseil de surveillance.
À discuter avec les personnels syndiqués, l’on s’aperçoit bien que depuis plus de vingt ans les habillages divers des métamorphoses du dossier ne les trompent plus. Ils jouent, eux, leur avenir professionnel, ils le disent et en ont conscience, mais surtout ils se battent pour un modèle social dont ils nous disent qu’ils le voient mourir.
Donc pour l’intersyndicale, Mme le maire extrapole à son avantage cette demande de report de réunion du conseil de surveillance. Pour eux, elle avait les moyens d’aller plus vite, plus fort et mieux.
Propos recueillis pour linformateurdebourgogne.com par Gilles DESNOIX
Oh zut ,c est trop tard l hôpital à fermé. ….
C est bizarre, c est comme le ciné, c est pas moi ,c est eux.
DÉMISSION
DEMISSION !