Il a pris ses fonctions de directeur délégué du centre hospitalier de Montceau le 24 septembre 2018 en remplacement d’Isabelle Tabyaoui.
Nicolas Ridoux va donc quitter son poste après seulement six mois de présence même si nous ne connaissons pas la date exacte de son départ pour « raison personnelle » dit-on à l’hôpital.
Nous avons tenté de joindre Nicolas Ridoux puis Christine Ungerer, directrice du groupement hospitalier du territoire (GHT) et Marie-Claude Jarrot, présidente du conseil de surveillance. Sans succès.
Jean-Claude Lagrange, maire de Sanvignes et membre du conseil de surveillance au même titre qu’Hervé Mazurek, maire de Blanzy, ont appris le départ du directeur délégué sans en être officiellement informés. « Dans la situation actuelle du centre hospitalier, il est urgent de lui trouver un successeur » déclare simplement Jean-Claude Lagrange. Dans un premier temps, il semblerait que Christine Ungerer assurerait la transition.
En cette période si délicate pour le centre hospitalier Jean Bouveri, le départ de Nicolas Ridoux « n’est pas une très bonne nouvelle » estime Hervé Mazurek. « C’est un manque de stabilité, de ligne directrice » ajoute-t-il « qui ne fait qu’augmenter l’inquiétude. Ce n’est pas très rassurant pour l’hôpital ni pour le territoire ».
Jean Bernard
Pour mémoire…
Hôpital – Un nouveau directeur délégué arrive au centre hospitalier de Montceau
Ce monsieur ( ingénieur de formation dans un tout autre domaine que le médical ) lors de la dernière réunion du Codef à laquelle il avait accepté de participer semblait pourtant vivre au pays des Bisounours : notre région était charmante et attractive, notre hôpital frôlait la perfection avec un plateau technique exceptionnel !
La réalité du terrain a du bien vite le rattraper.
Et l’arrivée de Me Ungerer ne présage rien de bon pour notre CH.
Cette dame n’a de la santé qu’une vision comptable et ignore totalement les répercussions humaines qu’engendrent les coupes budgétaires dont elle est à l’origine.
J’ai très MAL pour notre hôpital et les pauvres usagers que nous sommes, pris en otage par un système politico-technocratique n’ayant plus qu’une vision comptable de la médecine.
Le pire est à venir