Communiqué – La FCPE de Saône-et-Loire ne participera pas au Conseil Départemental de l’Éducation Nationale de ce vendredi 7 juin.
Réforme du lycée faite dans la précipitation et sans concertation, un projet de loi « école de la confiance » qui est très loin de faire consensus à Paris comme en province, des épreuves du bac menacées, des professeurs absents parfois non remplacés pendant des semaines voir des mois, des réunions de plus en plus fréquemment organisées à des heures qui ne permettent pas aux parents de participer activement à la vie leur établissement.
Nous disons stop et tirons le signal d’alarme !
Parents d’élèves, membres d’une Fédération reconnue d’utilité publique, nous sommes des bénévoles de la République et contribuons chaque jour discrètement mais efficacement à son fonctionnement, de l’école maternelle au lycée, à la ville comme à la campagne.
Acteurs clés de l’École Publique, nous proposons notre médiation. Dans cet esprit, nous demandons au Ministre de l’Éducation Nationale de renouer sans tarder le fil du dialogue avec l’ensemble des acteurs du système éducatif et d’apaiser enfin les tensions.
Comme le dit un proverbe africain « il faut tout un village pour élever un enfant ! », il est urgent de s’appuyer sur les forces qui aiment l’École Publique et de construire ensemble, parents, enseignants, élus… une autre école !
Après les Gilets jaunes, les enseignants, le personnel hospitalier, voici les parents d’élèves.
On dirait que la grogne s’installe. Il était temps que les français réagissent.
Pourquoi ne pas envisager une convergence pour une lutte commune ?
On peu également ajouter, des professeurs incompétents, incapables d’écrire une ligne sans faire une faute, incapables d’écrire un énoncé d’exercice compréhensible, incapables de donner un cours, mais très capable de distribuer des photocopies glanées ça et la, et sur internet sans vraiment comprendre ce qu’il y a dedans (expériences vécues depuis plusieurs années).
L’Education Nationale a faillit sur toute la ligne, absence de salaire motivant, absence d’encadrement compétent, efficace et visionaire, pléthore de personnels non enseignants qui ne servent à rien dans le monde informatisé actuel , absence de formations dignes de ce nom pour les professeurs, absence d’enseignement en pédagogie pour ces professeurs etc …..
Mais il faut bien faire plaisirs aux syndicats d’extrême gauche qui sont prêt à saccager des facultés ou saboter des examens parce que Madame Michelle du secrétariat refuse de laisser son crayon de papier pour passer à l’ordinateur !
On a déjà tout vu, et l’EN est morte. Ce ne serait pas si triste, si cela ne détruisait pas l’avenir de nos enfants face à la concurrence mondiale et en particulier celle des pays émergents.