C’est comme dans bien des domaines artistiques ou pas, sans connaître les bases, il est difficile ensuite de progresser ou alors les acquisitions sont bien plus lentes.
Or en freestyle pom, la technique de base est primordiale car l’important est que le groupe suivent les évolutions dans le même tempo. L’homogénéité et la synchronisation donnent ainsi du volume et de la qualité.
Des stages sont donc nécessaires, c’est pourquoi la présidente de Unity N’Dance de Blanzy, Mélanie Sassot afin de réduire les frais, a partagé un grand nom de la danse depuis 20 ans, MD Sheer (il est de Marseille), avec K’Dance de Saint-Rémy.
Au gymnase de la Verrerie, toute la journée de samedi, 65 filles dont 45 de Blanzy, ont écouté attentivement « le maître » et répété, répété les mouvements de base du freestyle pom.
« C’est le club qui a pris en charge financièrement la venue de MD Sheer » précise Mélanie Sassot. Les filles ont travaillé dur mais comment ne pas donner le maximum quand on a l’opportunité de danser avec un coach de renom.
J.B.