Je tiens à apporter une petite précision concernant l’article que vous aviez reproduit in-extenso dans votre journal.
Si j’ai été auditionnée par les membres de la commission « Cold case » c’était dans le but de relater tous les dysfonctionnements que nous avons rencontrés lors de l’assassinat de ma fille Christelle. En aucun cas, je ne serai partie prenante dans la mise en place de cette structure si elle venait à voir le jour (malheureusement).
Le titre de votre article laisse penser que je bénéficierai d’un droit de contrôle ce qui n’est absolument pas le cas. Je n’ai été auditionnée en tant que simple témoin, rien de plus.