Communiqué du RN – A l’occasion de la rentrée des élus du Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté en Saône-et-Loire, Julien Odoul a appelé Gilles Platret, chef de file des Républicains au Conseil régional, au rassemblement des patriotes opposés à la gauche et à l’extrême-gauche de Marie-Guite Dufay.
Dans le cadre de la recomposition politique, alors que les amis d’Eric Ciotti ont fait le choix courageux d’une vraie droite aux côtés de Jordan Bardella et de Marine Le Pen, face au terrible bilan de la gauche qui n’en finit plus de maltraiter le pouvoir d’achat, l’attractivité et l’identité de la région, le groupe RN tend la main à tous ceux qui veulent le changement au niveau national et à l’échelon régional.
« La gauche NFP a fait dans notre région à peine un quart des voix aux dernières législatives. Elle n’a remporté que 4 sièges sur 27 et pourtant elle dirige toujours le Conseil régional comme si rien ne s’était passé. Marie-Guite Dufay peut tenter de faire mentir la réalité, les faits sont là : la gauche régionale est ultra-minoritaire et les Bourguignons et les Francs-Comtois veulent un changement radical de politique. Ils veulent la paix fiscale, des politiques pour assurer leur sécurité au quotidien, des transports de qualité, la priorité régionale pour faire passer le Creusot avant le Togo. Le RN et la droite LR réunis représentent 53% des électeurs en Bourgogne Franche-Comté. Il est grand temps de mettre nos différences de côté pour combattre ensemble les folies et les idéologies d’une gauche à la dérive. Pour préparer l’alternance et assurer une vie meilleure à nos concitoyens, nous avons le devoir de travailler ensemble. J’appelle Gilles Platret à constituer une grande coalition au Conseil régional pour contrer plus efficacement la politique néfaste de Marie-Guite Dufay. Je l’appelle à préparer avec nous l’après Dufay. » Julien Odoul
La Bourgognne Franche Comté n’appartiendrait-elle pas au territoire français où se sont tenues en Juin des élections européennes et , en suivant , par la volonté de dissolution du Président français , des élections législatives ?
Que chacun constate aujourd’hui le chaos qui s’ensuit n’augure certes pas d’un proche avenir serein mais n’autorise cependant personne à continuer à entretenir et aggraver une confusion coupable . Les institutions de la 5ème République doivent être respectées tant qu’elles sont en vigueur et si les appels du pied conjoncturels ( voire davantage ) ont toujours existé , il serait préférable qu’ils ne s’exposent pas publiquement dans l’indécence .
La récente expérience a démontré qu’une élection peut rectifier , ou écorner , les résultats de la précédente , alors ne mélangeons pas les résultats des unes et des autres , essayons d’en tirer des leçons salutaires pour les prochaines échéances et de rectifier le tir en évitant si possible de nous précipiter dans le gouffre de la pensée unique et du » pouvoir absolu » !
La France a déjà donné et n’en est sortie qu’après beaucoup de souffrances . Elle s’est donnée des institutions démocratiques , qu’elle les respecte à chacun de leurs échelons , dans l’intérêt commun !