Sur les 44 enfants qui fréquentent le baby gym de l’Etoile Sportive de Sanvignes, il y a peut-être une future Coline Devillard qui vient de décrocher ce week-end son second titre continental au saut. La native de Saint-Vallier peut donc rêver de la médaille d’or aux JO de Paris en 2024 et faire rêver bien des petites filles.
En attendant, le baby gym, pour les enfants de 15 mois à 6 ans, favorise le développement des motricités et la sociabilisation des plus petits. C’est la première étape pour les parents qui souhaitent que leur enfant découvre une activité. Encore faut-il des encadrants qualifiés. Une politique qui a porté ses fruits puisqu’en 2010, l’ESS obtenait le label FFGym Baby gym.
En 2020, il a la reconnaissance Club Affilié Bronze, développe ses activités et comme le club du président Sylvain Préteux poursuit sur sa lancée, il obtient la reconnaissance d’Argent en 2022, « ce qui nous a permis d’obtenir le renouvellement du label Baby gym cette année » fait savoir Pierre-Jean Bouancheau, encadrant baby gym avec Eliane Bonnotte et Raphaël Itri.
Néanmoins, la reconnaissance Argent a nécessité d’imaginer et penser un projet associatif qu’il a fallu ensuite rédiger pour déterminer les objectifs du club et son évolution. « Nous avons ainsi pointé nos points forts et nos points faibles » signale Sylvain Préteux, « pour mieux les renforcer et les améliorer ».
Une chose est certaine, depuis avril 1929, date de la création de l’Etoile Sportive de Sanvignes, le club a bien grandi et n’a pas atteint son apogée.
J.B.
» la reconnaissance Argent a nécessité d’imaginer et penser un projet associatif ».
Comment avez-vous pu justifier de vos subventions avant 2022, si vous n’aviez pas de projet associatif ??? Incroyable de lire ça…