A l’Abreuv’art des Galipotes on ne plaisante pas avec la tradition. Quand on dit boeuf musical sous le signe du carnaval, on vient avec des signes extérieurs de grande richesse carnavalesque. On joue le jeu. Sur scène, c’est évident et dans le public aussi.
Les tenues, parfois extravagantes, parfois recherchées, parfois encore plus osées et parfois tout simplement dans le costume d’origine, ont vraiment donné un air de carnaval à la salle de la Trèche. Même des beignets confectionnés avec amour _ de la farine et du lait aussi _ à l’atelier des Passerelles ont été pris d’assaut. Plus de 12 kg ont été engloutis. Quand c’est bon, c’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim.
Soirée musicale, soirée carnaval, deux soirées en une.
J.B.