Réaction de Thierry MALLOT aux propos tenus entre Mr Philibert et Mme Jarrot.
Conseiller municipal PS. Un autre visage pour Saint-Vallier.
Surpris, voire perturbé par les propos tenus par notre Maire à l’encontre de son homologue de Montceau, je ne me serai probablement pas manifesté si Madame JARROT n’avait pas cité l’opposition municipale de Saint-Vallier dans sa riposte.
Voici d’ailleurs l’élément rapporté par qui me fait réagir « le non engagement de tout dialogue avec l‘opposition municipale ». Vrai ou faux qui peut le démontrer et en témoigner ?
Madame Jarrot dispose -t-elle bien de toutes les informations lui permettant d’avancer ce propos. Ayant assisté à d’autres conseils municipaux que ceux de Saint-Vallier, j’ai pu remarquer les disparités. L’exercice de la politique est formaté à chaque municipalité, cela en fait sa richesse et toute sa complexité.
Je m’interroge sur ce qui a pu pousser Alain PHILIBERT à agir ainsi ? Homme d’expérience, il savait pertinemment que Marie Claude Jarrot allait réagir avec des propos virulents. Bingo ! S’est-il fait piéger ou alors était ce calculé ?
Cet écharpement désormais mis au grand jour préfigure d’un avenir chaotique comme chacun peut l’imaginer. Quel drôle d’esprit de coopération ! Ces mots vont laisser des maux dans un bassin minier déjà en difficultés. Blanzy et Sanvignes en sortiront-elles indemnes ?
Cependant, je m’attarderai sur un point de la discorde qui m’est cher : C’est celui de la santé qui mériterait de travailler ensemble. Un texte de loi, établi selon le décret 2016-524 favorise et encourage ce travail de coopération dans le secteur hospitalier. Nous avons un atout, alors utilisons le. Notre GHT est colossal, Jean Bouveri pourra y prendre toute sa place si l’intelligence des acteurs convergent vers cet objectif de réussite. Je proposerai d’ailleurs au prochain conseil municipal de Saint-Vallier une avancée sur ce sujet.
En guise de conclusion, j’émets le souhait d’un retour à la raison de ces magistrats qui administrent 70% des habitants de notre bassin de vie. Leur responsabilité est grande.
Monsieur Marlot
Sans intervenir sur le fonds ni sur vos propos, l’article que vous citez n’est pas de Madame Jarrot comme vous voulez le laissez à penser mais de Montceau ma vie.
Nous souhaitions vous apporter cette précision et vous inviter à relire le texte…
Cordialement
Montceau ma vie