« Nous ne mettrons pas des arbres morts sur les places de la ville ». Le 9 septembre dernier, le maire EELV de Bordeaux, Pierre Hurmic, a déclaré qu’il s’opposerait à l’installation d’un sapin de Noël dans la cité girondine afin de défendre un improbable « concept de végétalisation ».
Quelques mois à peine après leur arrivée à la tête de quelques métropoles, les extrémistes verts n’en finissent plus d’exaspérer les Français avec la mise en œuvre d’un agenda de la déconstruction et de l’emmerdement général. Après le couronnement de l’écriture inclusive à Lyon, le rejet du Tour de France à Rennes et Lyon jugé « machiste et polluant », la chasse aux automobilistes à Tours, le maire de Bordeaux s’attaque à l’une de nos traditions les plus enracinées et les plus appréciées.
Exclure les sapins de Noël de l’espace public participe de cette idéologie d’extrême gauche, antinationale par essence, qui vise à faire table rase de notre identité et de notre culture. Cette absurdité municipale va priver les petits bordelais de ces instants d’émerveillement inhérents à cette période de l’année.
Mais cette décision qui risque de contaminer d’autres édiles verdâtres partout en France, est aussi une grave irresponsabilité sociale.
Si les communes ne décorent plus leurs places et leurs rues avec des arbres de Noël, qu’adviendra-t-il des hommes et des femmes qui vivent de l’exploitation du bois ?
En Bourgogne Franche-Comté, la filière bois emploie 20 000 personnes dont l’activité représente 29% de la production nationale de sapins naturels. La région compte notamment 1400 hectares de plantations de sapins de Noël dont plus de 1000 hectares dans la Nièvre. Le Morvan est le premier producteur français de sapins et fournit le majestueux spécimen qui orne la cour de l’Elysée chaque année.
A l’approche des prochaines échéances électorales, qu’ont donc prévu les candidats verts ? Faire mourir la sylviculture dans nos territoires et faire sombrer une filière renommée en condamnant des salariés au chômage ? Qu’en pense Madame Cécile Prudhomme en tant que secrétaire régionale EELV ?
Défendons nos traditions, nos emplois, nos filières et la magie de Noël !
Julien ODOUL, Président du groupe Rassemblement National
Julien GUIBERT, Conseiller régional, Conseiller municipal de Clamecy
Les premiers sapins de Noël ont été plantés en 1939 dans le Morvan.
Avant, la forêt naturelle était composée de chênes, de hêtres, de châtaigniers …, mais pas de sapins !
Cette production entraîne une pollution des sources et de l’eau potable, notamment au « dichlobénil » comme près de Saulieu.
Elle a un impact très négatif sur l’environnement.
S’il faut sauver la forêt morvandelle, c’est la forêt de feuillus qu’il faut sauvegarder.
Et que penser de ces coupes à blanc qui déchirent, enlaidissent les beaux paysages du Morvan.
De toutes façons, le changement climatique commence à faire des ravages dans les sapinières.
Notre devise nationale est « Liberté, égalité, fraternité » et non pas, crèche, sapin de Noël et missel.
N’importe quoi !!! Maintenant les sapins polluent !!! Aussi loin que je me rappelle , les sapins étaient des vraies . Alors , si on cherche la petite bête : les villes , les vitrines de boutiques , illuminées la nuit , ça ne pose pas de problème ???
Quand l’écologie devient l’éconologie.
Celle la fallait déjà la penser , punaise !!!
Les sapins ne polluent pas, ce sont ceux qui les exploitent qui polluent !
Renseignez vous, cherchez un peu et vous allez voir la face cachée de cette filière.
Ceux qui ont font la culture gagnent beaucoup d’argent et se moquent bien d’empoisonner leurs voisins.
C’est totalement lunaire !!! Comment discréditer toute l’énergie à défendre l’écologie ? Ben voila les écologistes l’on fait avec une énergie incroyablement ridicule ! Supprimons nos traditions au non de l’écologie et laissons la place à d’autres qui excellent dans la violence, la privation et la soumission. Avons nous réellement à faire à des écolos ou des déstabilisateurs de notre culture évoluée ?
La politique est bien un métier mais l’écologie non ,on voit bien que certains écologistes sont déconnectés de la réalité.
Comment avoir eu simplement l’idée de ne plus mettre de sapin de Noel ?