Emile Combes
Première partie : la laïcité et l’école
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Il y a 120 ans… la laïcité
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Le 13 mai 1857, le grand séminaire d’Albi libérait un de ses étudiants, « tonsuré » un an plus tôt, le 17 mars 1856, non encore moine, mais soumis à l’évêque. Ainsi, sans le savoir, cet élève élevé dans la foi catholique, sera t-il promis à un tout autre destin : donner son nom à une œuvre de laïcisation sans précédent qui « va soulever un élan d’approbation populaire, de confiance en l’avenir, que l’on peut comparer, après lui, à ceux du Front Populaire ou de la Libération » (Maurice Agulhon-La République, 1880-1932-Hachette, 1990). Plus tard, ses détracteurs, cléricaux radicaux, auront beau jeu de rappeler à ce « défroqué », comme ils le qualifieront, sa jeunesse passée au séminaire. Cet élève s’appelait Émile Combes…
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