Montceau – Une dernière soirée animée par le mouvement citoyen

Dans quelques heures débutera le confinement version 2. Quelques heures plus tôt, juste avant le couvre-feu toujours en vigueur, un rassemblement orchestré par le mouvement citoyen, mi-gilets jaunes, mi-conseil national de la nouvelle résistance, a investi le parvis de la mairie de Montceau-les-Mines.

Un bras de la résistance des citoyens opposés aux dernières décisions du gouvernement. Une trentaine de personnes a donc manifesté pour dénoncer, notamment « la dictature sanitaire » ou encore « les petits commerces qui ne sont pas essentiels et qui trinquent ».

« On nous fait des promesses mais on n’en voit pas la couleur » protestait une commerçante du Bois du Verne.

Sur des pancartes, on pouvait lire : « Stop à la dictature de la finance » ou encore « Oui aux petits commerçants ».

Les manifestants en colère ont défilé _ c’est un bien grand mot _ dans les rues piétonnes avec pancartes, flambeaux et musique.

Un petit air de déjà vu ces derniers mois. Un petit air de révolte avant le début du confinement.

Jean Bernard

57 commentaires :

  1. Les dignes représentants de la FRANCE ingouvernable….bravant l’interdiction…!!!!

  2. mouvement mi-gilets jaunes, mi-conseil national de la nouvelle résistance

    Tiens donc, LFI et le PCF se sont déjà réconciliés (ce sont toujours les memes deux douzaines de clowns qu’on voit partout)

  3. Les clowns, les pantins sont dans les ministères, les ficelles sont manoeuvrés par la finance, par les grands holdings.
    Braves gens, vous pouvez dormir en paix, BIG BROTHER veille sur les capitaux.
    Mais quand vous vous réveillerez enfin, il sera trop tard, vous serez mort !

    • parceque vous aurez bouffés les capitaux…!!!

      • Mais t’es bête ou quoi ? Les capitaux comment veux-tu qu’on les bouffes ? On y a pas accès !! En revanche le gouvernement, les actionnaires de la Finance, les multinationales en possèdent des milliards !!! Le problème n’est pas les gens qui manifeste, le problème c’est les gens qui se gavent d’argent (souvent sale) pendant que nous on crève. Et vous êtes d’accord avec ça ?

        • Mr Malot, mais si vous voulez des capitaux, pourquoi ne créez vous pas une entreprise ? Avec un bon projet, les banques vous prêteront.
          Si vous voulez gagner de l’argent, il y a aussi l’option travaille. Beaucoup de métiers manuels, accessibles avec un CAP ou un BAC Pro sont en souffrance.
          Ah oui, mais cela demande des efforts, alors qu’il est bien plus facile de vivre sur le dos de ceux qui justement font des efforts …..
          Généralement, quand on est incapable de créer quelque chose, de faire les bons choix dans sa vie, ou de se retrousser les manches, et bien on accuse les autres d’être responsable de ses propres turpitudes.
          Ces forums locaux sont géniaux. On y comprends pourquoi les choses vont si mal pour certains.

          • Il se trouve que j’ai retrouvé du boulot récemment. Donc merci de pas me traiter de feignant. D’ailleurs c’est pas parce qu’on ne travaille pas que l’on est feignant. Contrairement à ce que vous sous-entendez. Pourquoi je ne créer pas mon entreprise ? Peut être parce que je ne veux pas pour le moment. Mais ce n’est pas exclu un jour. Je vous trouve bien ignorant à mon sujet. Vous prétendez que je suis incapable de créer quelque chose ? Sauf que j’ai déjà sorti 12 livres (11 en auto-édition et le dernier aux Éditions Baudelaire). Donc vos remarques empreint de haine et d’ignorance, vous pouvez les garder.
            La prochaine fois venez donc nous dire les choses en face, sans pseudo, qu’on voient si vous êtes courageux. Ah non c’est vrai, vous êtes un indigné du canapé, un mouton qui suit les consignes d’un gouvernement au service de la Finance sans rien remettre en question et sans essayer d’agir pour changer les choses.

          • tout à fait d’accord LOL..mais les Français en général..n’ont aucune notion de l’entreprise…ne savent absolument pas ce qu’est un actionnaire et à quoi il sert au démarrage de l’entreprise…que voulez-vous la FRANCE comptent une bonne moitié de gauchistes sinon plus et on s’étonne que les entreprises ferment pour travailler ailleurs là où les gens bossent et ne sont pas toujours en grève….bon WE à Yanis..et à vous LOL….

    • Se réveiller mort, il y a quelque chose qui colle pas dans cette phrase.

    • Votre commentaire est bien digne d’un clown; la différence lui au moins fait rigoler les gens.

  4. Ha oui, ils me feront toujours rire ces gens là. Ils sont contre tout, c’est leur leitmotiv…mais dès qu’il s’agit de s’impliquer ou de prendre les rênes, là il n’y a plus personne. Pour preuve leur désarroi quand ils n’ont aucun volontaire pour se présenter aux élections départementales… Mais vous avez raison, continuez, vous avez au moins l’avantage de nous faire rire dans cette période morose…

  5. Faire quelque chose!! donnez un coup de mains à vos voisins et aux personnes seules près de chez vous par exemple.. soutenir , protéger les plus vulnérables et les plus fragiles psychologiquement en rendant visite en faisant des courses. Structurer votre mouvement dans un premier temps cela devrait vous occuper un bon moment et cela permettra surtout d’ arrêtez de nous gonfler avec vos théories à deux balles. Modérer vos lectures internet et complotistes, vous devenez franchement ridicule!

    • Nous prenons le temps,nous nous rassemblons sans.bruit,nous les gj du magny,les.gens vairront plus tard,nous sommes les mêmes que le.jour de la prise des ronds points,comme vous dites on.auraient du prendre les communes,pour les elections,le.peuple a montrer sa colére,et encore aujourd hui,nous sommmes là,dans.toutes les regions
      Le temps et l.avenir nous le.dira
      Pour l.honneur des travailleurs et un monde.meilleur
      Memr.si certains.n ont pas.compris

      • Même avec les masques ,on vous a reconnu les GJ ; les LFistes et compagnie qui ne pensent qu’à foutre le bordel . Vous auriez proposé quoi : « euh ah ben j’sais pas ; prendre l’argent aux riches  » mais vous êtes de pire en pire ; la France a besoin actuellement d’être solidaire pas bordélique . Et comme d’habitude , vous défilez sans autorisation .
        Vous êtes là oui mais combien 30 ou 40 ; car personne ne vous suit plus ; rappelez-moi combien lors de vos dernières manif ; moins de10000 sur toute la France.
        Bravo à le Goujon pour son commentaire

        • Vous voulez des propositions ? Voici les miennes.

          – Nationalisation des entreprises Famar (fabricant de chloroquine) et Luxfer (fabricant de bouteille à oxygène médicale).
          – Moratoire sur les loyers des bailleurs sociaux pendant toute la durée du confinement et un ajustement des montants dus proportionnellement à la perte de revenus des locataires
          – Mise en place d’un revenu universel (même provisoire) le temps de cette crise sanitaire afin de garantir aux petites entreprises, indépendants et artisans une sécurité.
          – Renforcer nos capacités hospitalières, cessez de détruire l’hôpital public
          – Créer un pôle public du médicament
          – Encadrement des prix alimentaires et des produits d’hygiène et de première nécessité ;
          – Bons d’achat pour permettre l’achat de produit d’hygiènes ;
          – Réquisition des cantines collectives pour que personne ne soit en précarité alimentaire
          – Fonds d’aide spécial pour les communes afin que celles-ci, en lien avec des associations afin qu’elles puissent livrer à domicile des paniers alimentaires, pour les personnes les plus en difficulté.
          – Mettre à disposition des logements décents en priorité pour les
          personnes sans domicile fixe, en situation de mal-logement ou d’insalubrité, victimes de violences intrafamiliales,….
          – Rétablir l’ISF
          – Supprimer le CICE

          Bref il en existe des propositions 😉

          • Et je peux en rajouter 😉

          • Voici mes réponses à vos propositions :
            – Nationalisation des entreprises Famar (fabricant de chloroquine) et Luxfer (fabricant de bouteille à oxygène médicale) La chloroquine ,pour quoi faire car son utilité contre la COVID n’est pas prouvée ; le taux de mortalité sur Marseille avec les patients traités avec la chloroquine est 10 fois supérieure au taux global français)
            – Moratoire sur les loyers des bailleurs sociaux pendant toute la durée du confinement et un ajustement des montants dus proportionnellement à la perte de revenus des locataires. Les bailleurs sociaux ne sont pas dépendant de l’état et ce ne peut être que du cas par cas .
            – Mise en place d’un revenu universel (même provisoire) le temps de cette crise sanitaire afin de garantir aux petites entreprises, indépendants et artisans une sécurité. l’état continue d’aider les petites et moyennes entreprises depuis le premier confinement.
            – Renforcer nos capacités hospitalières, cessez de détruire l’hôpital public . Le Ségur a déjà réglé certains points ; les formations d ‘infirmier réanimateur prennent beaucoup plus que 6 mois .
            – Créer un pôle public du médicament . Encore un organisme doublon avec ce qui existe
            – Encadrement des prix alimentaires et des produits d’hygiène et de première nécessité ; Nous sommes dans un pays de libre échange et si les prix vous les trouvez trop élevé dans certains commerces , alors changez de commerce ; tous n’ont pas le même tarif.
            – Bons d’achat pour permettre l’achat de produit d’hygiènes ; nous sommes effectivement en guerre mais contre la COVID
            – Réquisition des cantines collectives pour que personne ne soit en précarité alimentaire ; Il y a déjà beaucoup d’organismes sociaux (et c’est tant mieux ) qui s’occupent des personnes précaires.
            – Fonds d’aide spécial pour les communes afin que celles-ci, en lien avec des associations afin qu’elles puissent livrer à domicile des paniers alimentaires, pour les personnes les plus en difficulté. Même commentaire que pour la précédente.
            – Mettre à disposition des logements décents en priorité pour les
            personnes sans domicile fixe, en situation de mal-logement ou d’insalubrité, victimes de violences intrafamiliales,…. Désolé de vous contredire encore une fois mais certains sans domicile fixe ne veulent pas s’enfermer entre 4 murs ; pour les logement sociaux , les organismes d’état et les mairies ont tous les outils pour aider les personne en difficulté.
            – Rétablir l’ISF ; c’est le cheval de bataille de LFI donc sans commentaire.
            – Supprimer le CICE même commentaire .

            Donc globalement rien de nouveau dans vos propos.

        • Yanis malot et ceux qui le suivent,ne reprente plus les gj du magny,et le gj est un citoyen qui travaille consomme mais ne ferme pas sa geule
          N en déplaise aux moutons
          Republiqun

          • Ah bon ? Vous étiez ou Minouche jeudi soir ? On en vous a pas vu 😉
            Je n’ai par ailleurs jamais eu la prétention de représenter les GJ. Mais je le reste dans l’âme et dans le cœur. Seulement moi j’ai compris que le mouvement devait évoluer comme toute les luttes. Si moi et « ceux qui me suivent » ne représentons plus les GJ, alors ceux du camp non plus.

            Pour répondre à Republiqun :

            – Le taux de mortalité sur Marseille avec les patients traités avec la chloroquine est 10 fois supérieure au taux global français, certes, mais combien en as-t’il soigné ? Et pour la fabrication de bouteille d’oxygène, pour les réa vous êtes contre ? Sympa
            – Les bailleurs sociaux, certes ne sont pas dépendant de l’état mais pourquoi ce dernier ne les réquisitionnerait pas le temps de la crise ?
            – Visiblement ils n’ont pas donné assez. Combien de petite boite ont mis la clé sous la porte ?
            – Les formations d ‘infirmier réanimateur sont un début. Mais malheureusement insuffisant, il faut aussi des moyens matériels et financiers.
            – Il existe déjà un pole public du médicament ? Qui régule les prix ? Ah non ça ce sont les industries pharmaceutiques (Big Pharma en tête).
            – Vous trouvez que le libre-échange dans une société libéraliste comme la notre fonctionne ? Les prix augmentent partout !!!
            – Le gel hydroalcoolique n’est pas un produit d’hygiène ?
            – Oui il y a déjà (heureusement) beaucoup d’organisme qui s’en occupe et il en faut encore.
            – L’aide pour les communes est insuffisante
            – Certains SDF refuserait selon vous de dormir entre 4 murs. Je ne le nie pas, ça existe. Mais la majorité d’entre eux aimerait peut-être un logement.
            – Rétablir l’ISF ; Ça serait toujours de l’argent supplémentaire dans les caisses de l’État
            – Supprimer le CICE ; Même réponse que pour l’ISF

          • Bien penser à vérifier les sources et à bien les lire en profondeur quand on affirme quelque chose. Voici le taux de décès de l’IHU de Marseille : https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/ . Il me semble lire 0,5% pour la seconde vague (c’est l’encadré en bas à droite, les 10% ce sont les AP-HP pour la première vague, encadré en haut à gauche).

  6. l’argent ne va pas dans nos poches, mais lisez ceci et vous saurez où il passe!!

    Joyeux anniversaire !!!
    Elle a actuellement 83 ans, et dans seulement quelques jours : 84 !
    Cela ne dérange personne, donc on continue ! On a bien dit 84 ans !
    Ça fait bien plaisir de voir que les personnes âgées ne sont pas abandonnées par l’État…
    Surtout après un travail harassant de seulement 11 mois comme Premier ministre !
    Elle a 84 ans, et l’État a d’infinies douceurs pour Elle…
    et aussi pour quelques Autres !
    L’ÉTAT dépense annuellement 43 000 € pour le salaire du personnel et les déplacements d’Édith CRESSON, 29 ans après son départ de MATIGNON.
    Vous vous rappelez d’Édith CRESSON ?
    Elle a été Première ministre en dessous de François MITTERRAND en 1991…
    11 longs mois. C’était il y a 29 ans !
    Aujourd’hui âgée de 84 ans, elle est bien évidemment à la retraite.
    Et pourtant, en tant qu’ex ancien Première Ministre, l’État prend en charge le coût de sa voiture de fonction et le salaire d’une assistante.
    C’est ce qu’a révélé MEDIAPART en février dernier, dans l’indifférence générale
    L’ÉTAT FINANCE tous les anciens 1er ministres ENCORE VIVANTS :
    AYRAULT Jean-Marc (68 ans)
    CAZENEUVE Bernard (55 ans)
    CRESSON Édith (84 ans)
    FILLON François (64 ans)> >
    de VILLEPIN Dominique (65 ans)
    JUPPÉ Alain (73 ans)
    JOSPIN Lionel (81 ans)
    RAFFARIN Jean-Pierre (70 ans)
    BALLADUR Édouard (89 ans)
    VALLS Manuel (56 ans)
    FABIUS Laurent (72 ans)
    C’est le secrétariat général du gouvernement, un service dépendant de MATIGNON, qui gère les petits privilèges des anciens Présidents de la République et anciens Premiers ministres.
    Au nom de la transparence et du droit d’accès aux documents administratifs, garanti à tous citoyens par une loi de 1978, MEDIAPART a obtenu le détail de ces frais. Non sans mal !!!
    La demande a été faite au secrétariat général du gouvernement en janvier 2015, et sans réponse positive de sa part, MEDIAPART a dû saisir la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs), laquelle a rendu un avis Favorable à la transmission de ces documents .
    Une voiture et une assistante pour Édith CRESSON !
    S’agissant seulement d’Édith CRESSON, l’État a dépensé pour l’année 33 817 € pour rémunérer une assistante. (Pourquoi faire ?)
    Elle dispose également d’une voiture de fonction, d’un montant de44 467 €. Pas vraiment le coût d’une Twingo !!
    Quant aux frais d’entretien de sa voiture de fonction, l’État a déboursé 4 233 € en 2014, ainsi que plus de 5 189 € de carburant et 541 € pour l’assurance.
    Au TOTAL, hors coût d’achat du véhicule, l’État a dépensé 43 780 €.
    Sachant qu’elle touche aussi toutes les RETRAITES liées à tous ses mandats (maire, député, commissaire européen), est-ce bien raisonnable de continuer à financer une voiture et une assistante à une personne de 84 ans, sous prétexte qu’elle a été Premier ministre pendant seulement 11 mois !!! il y a 29 ans ?
    Et c’est PAREIL pour tous les anciens Premiers Ministres.
    C’était le 1/4 d’heure de vérité pour vous aider à mieux comprendre comment est utilisé votre argent et pourquoi il en faut tant… et où passent vos impôts !
    Voilà peut-être pourquoi il faut augmenter la CSG sur les retraites et augmenter vos impôts !!!

  7. Yanis Malot,
    J’ai regardé un peu l’historique de vos commentaires sur ce site. C’est assez édifiant. Vous prônez la violence dans le cas ou vous n’arriveriez pas à imposer vos idée ! Incroyable quand même. C’est exactement la même manière de procéder que ces islamistes qui tuent des gens parce qu’ils n’acceptent pas que les choses n’aillent pas dans leur sens.
    Ceci dit, c’est dans la droite ligne de l’idéologie LFI à laquelle vous êtes encarté (toujours sur ce site).
    Ensuite, quand on a aucun argument, et bien on menace, on fait comprendre que l’on va faire parler la poudre. Encore une fois, dans la droite ligne de l’idéologie d’extrême gauche.
    Franchement, je n’ai pas très envie de vous rencontrer, avec tous ces fous qui trainent dans les rues (et qui ne respectent pas les lois et accessoirement le couvre feux), mieux vaut ne pas prendre de risques.
    Quant à vos livres, et bien très bien, grand bien vous fasse.
    Ensuite, l’indigné du canapé, et bien vous le faite bien rire. L’indigné se trouverai plutôt de votre coté, puisque vous être contre tout, que vous criez votre haine de la démocratie (vous contestez sur ce site les résultats des dernières élections), votre haine de la richesse des autres, votre haine de tout ceux qui font et ont des opinions différentes de votre idéologie (vous laissez beaucoup de commentaires très intéressants sur ce site).
    De toute manière, Yanis Malot, quoi qu’il arrive, quoi qu’il se passe, vous serez un éternel révolté, un éternel grincheux, vous ne trouvez votre apaisement et votre plaisir que dans l’opposition à tout et n’importe quoi. Je pense que vous êtes comme ça, c’est votre nature. Toujours s’opposer, et réclamer.
    J’ai quitté la région il y a fort longtemps. Quand je lis la presse locale du Montceau comme on dit, et bien diantre, cela ne donne pas envie d’y revenir pour mes vieux jours. Et j’imagine, que c’est une des raisons pour laquelle aucune entreprise ne vient s’y implanter.
    Bonne soirée Yanis Malot, et respectez le confinement et le couvre feu.

    • Je n’ai jamais agresser et tuer personne. Mais je peux comprendre vos craintes. Certes, je suis militant LFI. Je défends des idéaux. Vous dites qu’on est violents, je vous invite à lire notre programme, à regarder nos interventions (Assemblée Nationale, Parlement européen, interview, etc…) avant de nous critiquer

  8. Quelle indécence de se plaindre dans ce merveilleux monde qu’est le nôtre !
    Après tout, si vous voulez toucher autant que Bernard Arnault, montez votre entreprise, ce n’est pas plus compliqué que cela.
    Quels sont ces emmerdeurs qui ne respectent même pas la trêve-COVID, pourquoi se plaignent-ils, s’ils ont travaillé toute leur vie pour une maigre retraite, qu’ils cherchent un boulot d’appoint, crever au turbin, ce n’est pas plus terrible que crever seul dans son lit.
    Et les jeunes qui n’ont pas de travail, qu’ils se fassent embaucher chez Webhelp, c’est un métier d’avenir et tellement valorisant.
    Franchement, y a pas de quoi se plaindre.
    Ne soyez pas envieux des Mbappe, Reichmann, Depardieu ou autre richissime personnalité qui peut gagner le SMIC en moins de 10 minutes.
    Ils le valent bien !

    • Attention à la manipulation. Ceux qui vous soutiennent ne veulent pas voir leur privilège baisser et souvent sont issus de familles aisées.
      En effet ceux qui doivent être soutenus sont ceux qu’on entend pas les petits smicards (qui bien souvent gagnent moins que les rsa car ils ont en plus des charges importantes)…

  9. tu dis « ,nous sommes les mêmes que le.jour de la prise des ronds points » , certainement pas, d’autres ont deja siglés votre origine rouge, et puis tout le monde le sait deja , inutile de repeter, pourquoi ces changement de couleur, d’origine rouge en passant par le jaune puis maintenant le vert ? c’est religieux ?

    • Chacun son chemin,mais je ne retourne pas ma veste ,je suis appartisan,je suis pour le peuple avec le peuple,
      Je reste gilets jaunes et il y a encore de vrais gilets jaune
      Sans aucune etiquette

      • Sans étiquette….ça n’existe malheureusement pas. Tout le monde à une étiquette. Après les GJ ont rassemblé des gens de différents bords et de différentes étiquettes sous la bannière « apartisan », c’était le seul moyen de se rassembler. Je suis d’accord qu’il faut se rassembler avec nos points communs et nos différences. Mais il y a des limites

  10. Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française.

    Plus de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.
    C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication. Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.
    Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.
    Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »
    C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophiste constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions simplement comme tous nos voisins européens. À ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.
    Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.
    Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%. Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.
    Hier, le 28 octobre, 3045 personnes étaient en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?
    On dit alors : « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ». Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède. Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ? Enfin, il y avait hier, le 28 octobre, 3045 personnes en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?
    La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.
    La vie sociale amputée, la démocratie en péril
    La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.
    Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché. Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraîne déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?
    Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?
    Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation. Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.
    Signataires :
    Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
    Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
    Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
    Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
    Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
    Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
    Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
    Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
    Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
    Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
    Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
    Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
    Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
    Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
    Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
    Fabrice Bonnet, professeur d’Endocrinologie au CHU de Rennes/université Rennes 1
    Jolanta-Eva Amouyal, psychologue clinicienne et du travail, Expert de la Commission Européenne
    Alexandra Henrion Caude, Chercheur, généticienne, Directrice de l’Institut de recherche Simplissima
    Andréa Soubelet, enseignant-chercheur à l’Université Côte d’azur
    Édith Galy, professeure en ergonomie à l’Université Côte d’azur
    Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie des Universités de Paris
    Jean-Loup Mouysset, Oncologue médical, Hôpital Privé de Provence
    Bernadette Meignan, médecin généraliste
    Sébastien Lagorce, médecin généraliste
    André Quaderi, Professeur de Psychologie, Université Côte d’Azur
    Olivier Soulier, Médecin
    Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
    Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
    Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
    Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
    Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
    Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
    Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
    Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
    Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
    Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
    Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
    Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
    Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
    Malick Abubakr Hamid Diallo, journaliste
    Virginie Bauer, journaliste-enseignante
    Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
    Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
    Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
    Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
    Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
    Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
    Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
    Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
    Dominique Domergue Anguis, gynécologue
    Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
    David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
    Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
    Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
    Rose-Marie Castello, médecin du Travail
    Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
    Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
    Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
    Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
    Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
    Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
    Florence Lair, radiologue libérale, Blois
    Nassim Moussi, Architecte
    Jean-Christophe Besset, Réalisateur
    Luc Petitnicolas, Responsable R&D – Chargé de cours
    Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
    Monique Lamizet, médecin
    Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
    Monique Romagny-Vial, professeur des universités
    Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
    Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
    Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
    Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
    Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
    Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
    Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
    Pierre Grenet, écrivain
    André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
    Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
    Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
    Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
    Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
    Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
    Pierre Duchesne, Psychanalyste
    Michel Angles, médecin généraliste (12)
    Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
    Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
    Christian Perronne, médecin infectiologue
    Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
    Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
    Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
    Sylvie Laval, psychiatre
    Daniel Chollet, médecin pneumologue
    Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
    David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
    Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
    Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
    Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
    Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
    Frédéric Monier, Professeur d’histoire contemporaine, Avignon Université
    Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
    Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
    Brigitte Weiss, Médecin généraliste
    Laura Giusti, Médecin psychiatre
    Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
    Eric Bouvier, pharmacien
    Bernard Cornut, polytechnicien
    Sophie Tasker, Traducteur et Expert Judiciaire
    Mohamed Zelmat, biologiste médical
    Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
    Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
    Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
    Frédéric Hasselmann, professeur de musique, chef d’entreprise, responsable d’association
    Jean-Pierre Grouzard, retraité des Industries Electriques et Gazières
    Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
    Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
    Hugues Debotte, Conseiller en droit
    Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
    Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
    Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
    Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
    Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
    Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
    Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
    Nathalie Caradot, médecin généraliste
    Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
    Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
    Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
    Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
    Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
    Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
    Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
    Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
    Nathalie Bauer, écrivain, traductrice littéraire
    Marie-José Minassian, philosophe
    Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
    Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
    Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
    Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
    Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
    Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
    Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
    Patrick Bellier, Pneumologue
    Isabell Erhardt, médecin généraliste
    Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
    Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
    Pierre-Olivier Weiss, Attache temporaire d’enseignement et de recherche à l’Université des Antilles
    Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
    Pascal Pannetier, Chef d’entreprise
    Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
    Jeanine Jemet, médecin généraliste
    Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
    Claude Amzallag, musicien
    Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
    Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
    Claude Murtaza, médecin généraliste
    François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
    Amélie Castellanet, historienne de l’art
    Sara Melki, Ouvrière agricole
    Léna Barbancey, infirmière
    Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques, Aix-Marseille Université
    Eve Martin, psychologue de l’Education nationale
    Nicolas Védrines, kinésithérapeute diplômé en ingénierie
    Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
    Michel Boudet, Médecin généraliste
    Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
    félix giloux, critique d’art
    Béatrice Adam, Kinésithérapeute
    Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
    Justine Schaal, infirmière diplômée d’Etat
    Idriss Abiola, infirmier anesthésiste, Paris
    Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
    Rik Verhellen, médecin généraliste
    Paul Rocchietta, directeur financier
    Pierre Concialdi, chercheur en science sociales
    Laurent Lederer, comédien
    Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
    Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
    Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
    Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
    Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
    Marie Monguet, psychologue clinicienne
    Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
    François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
    Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
    Christine Pavon, professeure des écoles
    Sophie Helayel, Accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH)
    Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
    Arthur Roncetto, bibliothécaire
    André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
    Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
    Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
    Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
    Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
    Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
    Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
    Christian Castellanet, Agro-écologue
    Dominique Leiber, médecin généraliste
    Margot Mottet-Caisson, étudiante à l’Université
    Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
    Gaël Raimond, étudiant infirmier
    Joo Zimmermann, Ingénieur Agronome, chargée d’accompagnement
    Maxime Langevin, doctorant en mathématiques appliquées
    Hélène Chollet, Docteur en médecine
    Béatrice Petit, médecin généraliste
    Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
    Nicole Chaudiere, pharmacienne
    Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
    Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
    Martine Mérour, pneumologue
    Myriam Balsat, médecin généraliste
    Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
    Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
    Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
    Christophe Sgro, avocat, barreau de Nancy
    Eliana Carrasco-Rahal, traductrice, autrice
    Gilles Moulard, chauffeur-livreur
    Adèle André, Juriste
    Dominique Bouvier, pharmacienne
    Marie-Louise Chaix, micro-entrepreneur
    Ralph Lévy, Étiopathe
    Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
    Chantal Hecq, retraitée
    Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
    Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
    Laurent Durinck, médecin anesthésiste
    Véronique Ahari, édecin nutritionniste
    Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
    Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
    Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université Paul Valéry Montpellier 3
    Thierry Medynski, médecin généraliste
    Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
    Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
    André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
    Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
    Jean Luc Wabant, avocat
    Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
    Évelyne Gandais, Dermatologue
    Nicole Karsenti, Médecin généraliste
    Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
    Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
    Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
    Serge Rader, Pharmacien, Paris
    Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
    Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
    Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de Nantes
    Jean Louis Pasquier, formateur pour adultes et praticien en cohérence cardio-respiratoire
    Christine Pasquier, formatrice, coach et praticienne en cohérence cardio-respiratoire
    Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
    Anne Catherine Martin, médecin généraliste
    Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
    Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
    Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
    Jean Emsallem, médecin angéiologue
    Morgane Miègeville, cadre de santé
    Jean-Philippe Golly, informaticien
    Patricia Melot, médecin généraliste
    Christophe Lemardelé, docteur en histoire des religions, chercheur associé au CNRS
    François Le Gall, musicien
    Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
    Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
    Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
    Aline Hubert, hydrogéologue
    James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2
    Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie
    Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
    Lidia Wacheux, aide-soignante
    Laurent Toussaint, Conseiller en Investissements Financiers, Professeur à Montpellier Business School
    Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
    Sylvie Imbert, informaticienne
    Elsa Ronchi, Cheffe de projet Développement Social Urbain
    Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
    Tamara Baron, psychologue
    Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
    Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
    Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille
    Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
    Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours administratives d’appel
    Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
    Catherine Raulin, médecin ostéopathe
    Natacha Galet, psychologue Clinicienne, Psychanalyste
    Gérard Delépine, chirurgien cancérologue statisticien
    Nicole Delépine, pédiatre cancérologue
    Jutta Schicht, éducatrice spécialisée
    Eve Villemur, homéopathe , nutritionniste et praticienne en TCC
    Béa Arruabarrena, maître de conférences Conservatoire National d’Arts et Métiers (CNAM) – Laboratoire DICEN
    Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur
    Claire Neirinck, professeur de droit émérite, Université de Toulouse 1 Capitole
    Thierry Loloum, médecin, psychiatre (16)
    Véronique Le Gall, psychologue
    Alain Tortosa, thérapeute
    Colette Nordmann, médecin du Sport-Santé, Bures-sur-Yvette
    Aude Meesemaecker, infirmière libérale, naturopathe, Montpellier

    • Le Covid ne devrait pas générer autant de tension, mais au contraire rapprocher les individus, car nous avons plus besoin de solidarité que de division.
      J’invite chacun à réfléchir sur des prises de positions aussi marquées qui ne servent à rien. Les grands scientifiques qui prétendent se qualifier ainsi sur cette tribune ne vont pas beaucoup rassurer les incrédules.
      Vaillants rebelles, ne vous mettez pas en difficultés et pensez aussi à protéger votre entourage. C est du civisme et c’est le minimum…

      • Bonjour Mr MALOT ;
        Je suis d’accord avec vous et je l’ai mentionné dans un de mes commentaires , les Français doivent être solidaires et unis mais il est difficile pour certains de mettre leurs systématiques oppositions en sourdine. Il est clair que je suis comme vous à souhaiter à tous de se protéger.

        • C’est lorsque vous comprenez que la nature est parfois juste et que les virus ne tiennent compte ni du patrimoine ni du compte bancaire que vous voulez l’union parce que ceux que vous méprisez habituellement ont un plus grand pouvoir de contamination que vous.
          Il existerait un traitement et un vaccin, vous ne parleriez pas d’union.
          Alors, ne comptez pas pas sur une quelconque union. De notre part, ce serait une union avec des opportunistes qui ont la trouille parce que leur pognon ne peut pas les sauver !
          Bâtissez un monde juste, un monde de partage, un monde de solidarité et nous pourrons parler d’union. C’est la condition sine qua non.
          Vous allez me répondre que je suis utopiste ; alors votre prétendue possibilité d’union est aussi une utopie parce que la lute des classes n’est pas morte, elle ne peut pas mourir, elle est le fruit de vos inégalités, elle revient. faites gaffe à vous ; Il n’y a pas de masques pour l’arrêter.
          Liberté, Égalité, Fraternité, Mortalité !

    • Ah ben tiens le voilà médecin maintenant ; arrêtez de nous bassiner avec vos commentaires faussés par vos lectures sur les réseaux sociaux. Et si vous pensez qu’un acteur connaît mieux la médecine que le Ministre de la Santé , j’espère que vous et les partisans de LFI ne seront jamais au pouvoir.

      • Faut il gratter beaucoup pour découvrir les multiples bourdes ou incohérences (présumées) de nos ministres de la santé ?
        Oubliés les scandales en matière de médecine, au point que certains analystes se posent la question erreurs ou manipulations ?
        Qu’est ce qui est crédible aujourd’hui ?
        Reste t’il autre chose que la croyance ?

      • Républiqun, je ne suis pas médecin. Et encore une fois, vous comprenez tout de travers. Et le ministre de la Santé non plus n’est pas compétent. On le voit au niveau de la gestion de la crise.
        Pour revenir à LFI, vous parlez sans connaitre notre programme (comme toujours). Bref malheureusement les gens comme vous (macronistes ou moutons nourri à BFM) sont légion. Mais pour combien de temps ? Pour plus très longtemps j’espère.

    • Arrête Yanis de révéler les thèses que l on soutient lors de nos réunions de travail, tu ne vas plus faire rire tous ces rageurs, tu vas les instruire 😉 et on a autre chose à faire en plus de notre vrai travail du quotidien car on bosse contrairement aux idées reçues

      • C’est plus fort que moi, je ne peux pas laisser les gens continuer à dire n’importe quoi et cautionner tout cela. Mais bon tu as raison, on a assez de boulot comme ça. Quand les moutons seront tous tondus, qu’ils viennent pas chialer.

        • Pour ce qui est de gérer la crise ,mieux vaut avoir un médecin comme ministre pour la gérer au mieux . Que nos dirigeants disent ou proposent quoique ce soit , vous serez toujours contre.
          La grosse différence avec moi qui n’est pas toujours d’accord avec leurs décisions.

          • La preuve que si. Vous passez votre temps à défendre ce gouvernement. Je n’ai jamais lu un de vos commentaires ou vous critiquiez l’action de celui-ci. En revanche les syndicats, les GJ, LFI, etc….ça vous avez à leurs reprocher.

  11. Ce n’est pas le covid qui génère autant de tensions, ce sont les réponses de l’être humain face à la crise. Le comportement humain, rien que le comportement humain. C’est un immense puzzle et en plus, tout le monde n’a pas les mêmes pièces ni les mêmes méthodes pour le résoudre. Bref, chacun parle en fonction de ses intérêts particuliers, d’autres en fonction de l’intérêt général, d’autre en fonction de l’intérêt de groupes, et tout cela s’interpénètre. Pour se parler, il faut commencer par avoir une réelle volonté pacifique de part et d’autre, puis un temps de mise en accord des définitions des choses, alors à bon entendeurs…… (excusez-moi de ma colère de voir les choses partir en sucette)

    • Je n’y comprends rien, mais combien de fois avez vous tourner votre veste mr Malot ? Alors maintenant vous n’êtes plus GJ ? On quitte le bateau quand celui ci tangue trop ou c’est trop dur de ramer avec eux pour faire avancer le navire. Je ne comprends pas… Aristote nous a pourtant ouvert la voie

      • Je n’ai jamais dit que je n’était plus GJ. Je le suis encore et le resterai. Tout comme mon arrière-grand père était résistant en 40-45 et l’est resté au fond de lui. Quand on est GJ, c’est pour la vie.
        Les GJ existe encore. Dans nos actes, dans nos âmes, dans nos cœurs. Seulement la lutte doit continuer au delà. Je suis toujours GJ tout comme je suis toujours militant LFI, libertaire, poète, etc….
        Seulement il y a aujourd’hui deux sortes de GJ. Ceux qui ont compris comme moi que le mouvement évoluait logiquement et naturellement vers d’autres luttes. Et les autres qui n’ont pas évolué dans leur réflexion, leurs actes, leurs façons de lutter et de résister. Un GJ ce n’est pas être sur un camp à ne rien construire. Un GJ, c’est un citoyen en colère qui fait tout pour lutter contre ce système. Et nous sommes un petit groupe à l’avoir compris, à avoir rejoint des collectifs pour transformer le mouvement et mener des initiatives citoyennes locales.
        Je n’ai jamais tourner ma veste et ce n’est pas aujourd’hui que je vais commencer. Contrairement à d’autres….

        • Yanis
          Nous aussi au camp des gj,on construit mais on ne le dit pas,le faites de ne pas étre avec vous à faire les mariolles ne veut pas dire que l on fait rien ,la resistance est discréte ,on vous retrouve aussi dans pas mal de groupe,et vous voulez encore en prendre les commandes,

          • Ah oui ? Vous faites quoi ? Des barbecues ? Vous préparez des choses concrètes ? Arrête ton char (comme ils disent au Québec), les derniers GJ motivés et vertueux sont rentrer dans différents groupes certes, non pas pour en prendre les commandes mais pour agir concrètement. Cela demande du temps aussi. J’ai beaucoup de respect pour vous mais à un moment arrêter de vous croire que vous êtes utiles en étant sur le camp, invisible et que vous construisez quelque chose. Qu’avez-vous fait ces derniers temps ? Rien. Nous on a du concret. Vous non.
            Je le redit encore une fois, nous on a compris que le mouvement devait évoluer dans ses méthodes et dans la lutte. Vous, vous persistez à vouloir « rester aux bases des débuts ». Sauf que ça ne marche pas comme ça un mouvement (au même titre que beaucoup de concepts). Incroyable, ça vient donner des leçons alors qu’ils sont incapable d’organiser un truc tout seul. Ou alors quand vous organisez un truc ça ne ressemble à rien. Vous dites organiser des choses discrètement mais c’est pas les échos que l’on me donne 😉 Et mes sources sont fiables 😉
            LOL !! Revient me voir quand tu saura ce que c’est que d’en prendre plein la gueule, que de réfléchir et d’organiser réellement quelque chose de concret, que de négocier, travailler pour essayer de faire bouger les choses. Quand tu en aura fait autant que j’en ai fait en 2 ans au sein des GJ (et en 10 ans en tant que militant), là tu pourra me donner des leçons.

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