Même José ne s’y attendait pas. Il ne s’attendait pas à une telle affluence au marché aux puces populaire en ce premier dimanche du mois de novembre. « Il y a encore quelques jours j’ai reçu des appels, surtout de nouveaux exposants » reconnaissait il.
Belle surprise donc au centre-ville de Montceau-les-Mines avec des quais copieusement garnis. « C’est même mieux qu’à Montchanin, on y trouve vraiment de belles pièces en dehors des fringues » faisait remarquer un visiteur au regard perspicace.
Chiner est un métier, c’est surtout prendre le temps de bien regarder, ne pas avoir peur d’engager la conversation avec le vendeur avant de passer à la négociation. Encore faut il savoir ce qu’on cherche ou comme d’autres, farfouiller au petit bonheur la chance. « Mais on trouve de tout, vraiment de tout » s’exclamait un monsieur en s’adressant à madame.
Les puces de José sont sans comparaisons avec un big bazar. On ne va pas aux puces pour acheter une citrouille. Y en avait. Des noix. Y en avait aussi. Des tas de trucs dont ne savait même pas à quoi ils servaient, y en avait là encore. C’est dire la richesse de ce marché. On peut y passer des heures sans rien chercher et tout trouver.
J.B.
Un très grand vide grenier cependant certains vendeurs abusent sur les prix…..dommage !