Lundi 19 novembre dernier, Corinne Lardenois (la Bouquinerie au Bois du Verne) indiquait vouloir organiser une black friday populaire. La bouquiniste qui gère son propre mouvement des gilets jaunes indépendamment de celui du Magny a pourtant jeté l’éponge.
Les commerçants du centre-ville montcelliens sont montés au créneau. Pas touche à nos commerces ! L’idée de Corinne Lardenois en ce vendredi 23 novembre consistait « à bloquer les grandes surfaces et les pompes à essence ». Bref, l’idée a été très mal perçue par les commerçants.
Par ailleurs, Corinne Lardenois a été convoquée au commissariat de police jeudi matin où lui a été rappelé les règles à tenir dans l’organisation d’une manifestation. Elle a également reçu par voie d’huissier, un courrier émanant de l’hypermarché Leclerc de Montceau. Le contenu ? Corinne Lardenois préfère garder le silence.
Ce vendredi matin à 9h, devant la capitainerie, ils étaient trois a expliquer que le black friday populaire était annulé. Une personne s’est présentée, s’en est retournée et a rejoint le Magny.
Jean Bernard
Madame Lardenois commence sérieusement à agacer son monde… surtout que son mouvement ne semble pas prendre. Elle a beau répéter qu’elle se bat pour tout le monde (quel sens du sacrifice!), non madame Lardenois: tout le monde n’est pas concerné par votre bataille. Vous aviez une bonne situation dans la fonction publique dans l’Ouest de la France. C’est vous, et vous seule qui avez choisi d’abandonner une certaine sécurité de l’emploi pour vous lancer dans une aventure professionnelle hasardeuse et vouée à l’échec. Et ca, ce n’est pas Emmanuel Macron qui en est responsable.