Le public est tombé sous le charme. Kyle, le fils de Clint Eastwood a enthousiasmé les amateurs de jazz et ils sont nombreux. Plutôt rassurant quand des pointures montent sur la scène de l’Embarcadère.
« On n’a pas vu le père, au moins on a pu apprécier le fils » dira une spectatrice encore envoûtée par cette musique américaine, ce jazz qui swing et pénètre au plus profond les pores de votre peau.
Père et fils ont deux passions en commun, le cinéma et le jazz. Alors quand le fiston attrape sa contrebasse, il en pince pour les allumés des salles obscures. Son répertoire colle aux affiches de films avec Clint, bien sûr et revisite des thèmes cultes, Gran Torino, James Bond avec Skyfall et, cerise sur le gâteau, la Panthère Rose.
Déjà, Kyle à contrebasse, c’est un voyage en classe affaires qui est donné au public. Avec ses deux compères aux cuivres, trompette et saxo, alors là, on atteint la stratosphère tellement le son vous colle au fauteuil. On ne voudrait plus redescendre et rester tout là-haut avec eux.
Aucun doute possible, ce fut un très grand concert de jazz.
A cela, il est bon de mettre en exergue, la qualité du travail des équipes de l’Embarcadère, notamment les deux techniciens du son et de la lumière. « Very beautiful » leur lancera Kyle Eastwood. C’est du fait maison. Y a du talent chez ces hommes là !
J.B.
Oh oui, it was marvellous, un grand honneur que l on a eu là, l ensemble était au top