Harmonie des lignes, lignes épurées dans une stricte sobriété et ce verre qui glace l’échine dans un décor de château abandonné. L’oeil de Stéph surprend, exalte notre curiosité. En toute intimité.
Corps et décor, à l’endroit, à l’envers, Harmony pose une main, délicate, sensible, voire sensuelle sur le passé que la poussière recouvre, que son regard détourne et se perd dans l’oubli. La pudeur d’une rencontre avec un ancêtre. Etre ou ne pas être l’homme de la photographie, sans cadre et sans vergogne, alors monsieur, s’il vous plaît, ne brisez pas la belle Harmony.
J.B.