La revue La Physiophile n°177 vient de sortir. Voici un numéro qui devrait ravir les habitants de Gourdon et pas seulement puisqu’il a été découvert un rare solidus de Gondebaud au nom d’Anastase, probable vestige du trésor de Gourdon.
Il s’agit d’un trésor découvert par une femme en 1845 enterré dans un pré. « Il y avait un calice et des pièces d’or » raconte le maire, Marc Répy. Un service eucharistique et 104 monnaies en or ont sans doute été enfouis vers 524 où à cette époque devait exister sur la colline un petit monastère.
Ce trésor de Gourdon n’est plus dans le village, il est conservé au cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France.
La découverte de cette pièce en or conservé à Saint-Bonnet-de-Joux fait donc l’objet d’un reportage dans la nouvelle revue de la Physiophile dont le sommaire est publié ci-dessous.
Quant à la jeune bergère de 13 ans , Louise Forest , qui découvrit « le Trésor de Gourdon » le dimanche de Pâques , 23 Mars 1845 , en gardant son troupeau , elle était l’une des ancêtres de ma famille puisque tante de mon grand-père , Claude Forest .
Le « Maître » de Louise Forest s’appelait M. Darras .
Le propriétaire du pré « du Vigny » , où fut découvert le vase contenant les monnaies mérovingiennes et un plateau ( 19 / 13 cm , or , verres rouges et turquoise ) ) était M. Tainturier , habitant Dijon .
A noter que la découverte de ce somptueux trésor n’enrichit pas sa découvreuse ; on dit je crois « l’inventeur » , ou aujourd’hui « l’inventrice » !
Merci pour ces précisions. Voici le genre de sujet que j’aimerai pouvoir lire plus souvent. Ces histoires locales ont un coté magique et passionnant.
C’est très sympathique.
Passez un mercredi matin au local de la Physiophile, 58 quai jules Chagot pour bavarder avec nous à bâton rompu !.
Nous somme là pour celà et serons heureux de publier vos propos et réflexions dans le forum d’un prochain numéro de notre revue semestrielle.