Communiqué – Pour nombre de personnes dans le monde, la France est le pays des droits de l’homme, une terre d’asile, avec un rayonnement culturel universel. Cependant, les politiques d’asiles sont désormais remises en cause au nom du dogme du contrôle et de la limitation des flux migratoires, en France comme en Europe.
Nous proposons de garantir l’asile en mettant en œuvre les mesures suivantes :
- rompre avec les directives européennes et abroger les lois successives ayant eu pour objectif de restreindre le droit d’asile en France.
- Rattacher l’office français de protection des réfugiés et apatrides (ofpra) au ministère des affaires étrangères (et non au ministère de l’intérieur ou de l’immigration) afin de rétablir un droit d’asile déconnecté des politiques migratoires et d’augmenter son budget de fonctionnement :
- autoriser les demandeurs d’asile à travailler pendant les périodes d’attente d’examen de leur dossier.
- Augmenter le nombre de place en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) :
- organiser la répartition des demandeurs d’asile sur l’ensemble du territoire métropolitain :
- mettre fin aux accords commerciaux de libre-échange et mettre en œuvre un protectionnisme solidaire :
- mettre fin à l’instrumentalisation de l’aide au développement, qui a conduit l’UE à signer l’accord de la honte avec la Turquie en mars 2016 : visa+ accord « migrants » :
- mettre fin à une justice d’exception pour les étrangers. Le même droit doit s’appliquer sur tout le territoire. Y compris dans les régions ultrapériphériques comme Mayotte :
- construire un programme pour l’aide au retour des réfugiés qui le souhaitent lorsque la situation de leur pays de départ le permet.
Source livret thématique de l’avenir en commun.
moi je vous propose de mettre vos adresses pour les accueillir à vos frais! ….. allo, y’a plus personne!!!!,
oui très bien dit toto mrs les insoumis prenez les chez vous , nous avons recemment vu sur toutes les chaines de télé que votre chef possédait un grand appartement alors qu’il montre l’exemple faites comme lui mais ça nous verrons