Depuis l’arrivée du directeur de l’IFSI, Julian Vadell-Martinez, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers de Montceau-les-Mines, a pris une nouvelle dimension et une stature plus en rapport avec le métier que représente celui d’infirmier.
Ce n’est pas un diplôme gagné à la loterie ou obtenu d’un coup de baguette magique. Ce sont trois années d’études exigeantes avec au bout, le grade-licence en sciences infirmiers qui mérite une reconnaissance à la hauteur des espoirs qui sont placés dans cette promotion 2021/2024 forte de 37 diplômés (infirmiers et infirmières). Cérémonie qui s’est déroulée au salon d’honneur de l’hôtel de ville de Montceau-les-Mines. « C’est un noble métier » n’a pas manqué de rappeler Marie-Claude Jarrot, maire de Montceau et présidente du conseil de surveillance du centre hospitalier Jean Bouveri.
« Vous allez très vite passer du statut d’étudiants à celui de soignants et vous êtes un maillon essentiel du parcours de santé » notait le maire, grâce aux compétences du directeur, des formateurs et des enseignants qui font la réputation de l’IFSI, un institut qui dispense des savoirs et des savoirs faire qui ont une particularité, puisqu’ils ont trait à l’humain.
Bientôt, le CH Jean Bouveri « pourra vous accueillir à la faveur d’un travail de remise à plat des conditions de recrutement avec le nouvel hôpital dont les premiers coups de pioche seront données courant 2025 ou début 2026. Ce sera une exceptionnelle opportunité de vous accueillir ou vous faire revenir dans des conditions optimisée » exposait Marie-Claude Jarrot.
Une infirmière (plus de femmes que d’hommes) a pour mission d’entourer et de protéger chaque patient en apportant cette valeur si capitale, ce petit supplément d’âme qu’elle apporte et qui compte tellement pour le malade. « Votre métier est un beau métier, ne l’oubliez jamais ».
Le directeur de l’IFSI et Jacqueline Saclier, référente de la promotion, le savent, infirmier est un métier difficile, exigeant, dur parfois mais c’est l’un des métiers les plus populaires, les mieux considérés par les malades et leurs familles.
L’IFSI pourra bientôt intégrer ses locaux au lycée Claudie Haigneré, « ce sont 10 M € injectés par la Région » soulignait Laetitia Martinez, vice-présidente à la région BFC. Un nouvel hôpital, un nouvel institut, quand bien même la mission est complexe, « nous ne pouvons perdre des talents » affirmait Julian Vadell-Martinez qui formulait un voeu, « travaillons pour faire avancer le métier d’infirmier, qu’importe le gouvernement car notre métier ne connaît par la douleur politique ».
J.B.
Ces dames voilées ont oubliés qu’elles vivaient en France ?
Bonsoir
Je trouve déplorable et triste le port de ce tissu horrible…
Compte tenu de toutes ses femmes qui se battent pour la liberté et la beauté de la femme en Iran…
Les femmes ont surtout le droit de s’habiller comme elle veulent. Il n’y a pas encore de police de l’habillement et heureusement!!! Au passage je vous invite à relire la définition de la laïcité, cela vous évitera peut être de dire des sottises.
Bonsoir
Je suis de votre avis mais de quelle France parle-t-on maintenant ????
J’aurais tendance à citer une certaine chanson :
NE M’APPELEZ PLUS JAMAIS FRANCE !
Moi personnellement ça ne me rassure pas
Il est où le problème avec ces dames voilées???? N’importe quoi ces commentaires, vraiment hors sujet
C’est tout ce que vous avez retenue de l’article et de la douzaine de photos !! C’est affligeant !! Moi je dirais plutôt Pauvre France mais à cause de votre mentalité affligeante !!! Bravo à tous les jeunes diplômés sans exception et bonne continuation !!
Le jour où vous aurez besoin d’une infirmière, j’espère que vous ne vous poserez pas la question d’une personne voilée ou pas…le principal me semble être la réussite pour obtenir ce diplôme assez compliqué. Infirmière blonde, brune, blanche, black, voilée… ce n’est pas le problème je crois !