Le camp des gilets jaunes du Magny a une nouvelle fois été victime du vent qui a soufflé fort dans la nuit de samedi à dimanche. Après une fin de partie mouvementée samedi avec l’intervention des gendarmes mobiles, sans bobos est-il besoin de préciser, ce dimanche matin, les gilets jaunes eurent la désagréable surprise de voir une grande partie des barnums envolée.
Un deuxième épisode venteux qui ne sape pas le moral des troupes pour autant. Opération « bricolage » du dimanche autour du feu et d’un bon café. Et c’est reparti pour une journée sans doute plus calme que la veille.
Dégâts matériels mais toujours le même mordant dans le coeur des gilets jaunes. « On ne lâche rien » disent-ils.
Jean Bernard