Que faire ? Rien. Si seulement on pouvait se la couler douce comme cette grenouille ou profiter du hamac, les pieds en éventail, un chapeau sur le nez, un livre prêt à tomber de votre main et se laisser bercer des heures et des heures.
Ne penser à rien, éteindre son portable. Il fait top chaud pour travailler. C’est même épuisant de ne rien faire.
Le lundi de la paresse ressemble pour beaucoup au dimanche avec la même volonté de sombrer et poursuivre sur le chemin de la flemmardise. Par gourmandise.
Comme on aime lézarder un lundi au soleil.
Et pour ceux qui n »ont pas cette chance, bon courage.
Jean Bernard