Une journée finalement c’est peu pour celui qui aime la littérature sous toutes ses formes. Un livre ne se livre pas aussi facilement, il faut du temps, l’observer, le toucher, le poser, le reprendre, l’ouvrir. Alors quand vous avez soixante auteurs réunis pour la deuxième édition du salon du livre « Mine de livres » à la salle EVA à Blanzy, soixante auteurs qui proposent plusieurs ouvrages, le temps passe vite.
Surtout quand il s’agit d’une édition placée sous « les symboles de la découverte et du bonheur partagé » mentionnait le président de Mine de lire, Yves Jacob. Même Michel Benoit, invité d’honneur, ressentait de bonnes vibrations. « Ici, on se sent bien, on est rassuré ».
Découvrir, rencontrer des auteurs qui parfois ne sont pas très loin de chez nous, d’autres plus timides au premier abord mais talentueux, des hommes, des femmes, finalement fasciné par l’écriture et qui fascine le lecteur. C’est une mine d’une grande richesse.
Ecrire, on y vient parfois par la petite porte, comme participer au concours de nouvelles qui cette année a mis en valeur la plume d’un lycéen de Parriat à Montceau-les-Mines, Adrien Casteloa (15 ans) pour « Une nuit au collège » et Sélène Foucher Tharrault, élève au collège Guillaume des Autels à Charolles pour « Les morts ne sont pas seuls dans le ciel ».
J.B.
LES RESULTATS DU CONCOURS DES NOUVELLES 2018