Les retraites, l’emploi, la sécurité, les libertés, la santé, toutes les actions du gouvernements qui tendent à diminuer les acquis sociaux ou accroître les inégalités, sont autant de motifs pour la CGT de monter au front aussi bien dans le privé que le public.
Ce jeudi matin, c’est la CGT unitaire du département de Saône-et-Loire qui s’était donné rendez-vous devant l’entrée du site Michelin à Blanzy. Un rassemblement de soutien aux employés de la firme de Clermond-Ferrand qui attendent précisément à quelle sauce ils vont être assaisonnés suite à l’annonce de la direction générale de supprimer en trois ans, 2 300 emplois sur l’ensemble des sites.
Supprimer des emplois et, en même temps gagner 5% en productivité. Produire plus avec moins de personnel.
Dans l’immédiat, les négociations entre le patronat et les syndicats n’ont encore débuté, sans doute d’ici une quinzaine de jours afin de connaître les modalités des départs volontaires dans un premier temps. Et qui dans les syndicats, signera l’accord.
Reste à savoir, sur les 1260 salariés du site à Blanzy, combien seront touchés par ce plan ?
Ce rassemblement orchestré par la CGT a aussi été l’occasion à toutes les branches notamment ceux des services publics (des impôts, de l’hôpital ou encore ENEDIS) de rappeler les fermetures engagées depuis le début de l’année (centre des impôts) et le manque toujours criant de moyens dans les hôpitaux.
Ce 4 février a été décrété jour d’action et de grève par la CGT.
Dans l’après-midi, rendez-vous était donné à Autun (15h30) pour manifester contre la très probable fermeture de l’usine Honeywell à Saint-Forgeot.
J.B.
si on leur demandait de travailler dans la merguez ils feraient la grève!!!!!
ils vont dire que ça a été un succès……mdr comme d’hab!!!!
Ils vont crier victoire encore une fois ! Il faut bien avouer que lorsque vous offrez le couvert et une boisson chaude en ces temps froids il y a forcément du monde à table.
A remarquer les vas et viens de la foule épars l’offre était alléchante.
Ils pensaient nous enfumer mais chacun après être rassasié a regagné ces pénates.
Ils avaient battus la campagne afin de rassembler mais encore une fois un échec à la clé..
Donc à l’avenir si vous souhaitez avoir du monde à vos prochains rassemblements continuez à offrir le couvert et le parvis de l’hôtel de ville sera noir de monde.
Et les autres syndicats représentatifs de MICHELIN Montceau ? Ils attendent de savoir si le site va être touché par ces licenciements ( probable quand même) .
Toujours crier au loup , rassembler les différentes antennes de la Saône-et-Loire pour essayer de faire du nombre ; ce syndicat s’est perdu au fur et à mesure des années .
Les « anciens » eux-mêmes le disent.
C est beau ces gens qui se réjouissent de la casse industrielle et qui se moquent des syndicats ….toujours les mêmes ,sûrement en retraite ( gracieusement offerte par le patron????) , Peut être même soigné ( créé par le patron la sécu ?????) ……
Sûrement des indispensables ,aptes à la critique , individualistes jusqu a écraser l autre …..
Les mêmes que l on retrouve au syndicat ,lorsque que les circonstances se tournent en leur défaveur …..a larmoyer pour être défendus….
que voulez vous….ils me font rire……j’ajoute en connaitre pas mal qui ont eu du boulot grace à moi et mes amis…….et oui je suis retraité et fier de ce que j’ai fait sans syndicat dans les pattes!
Ou avez-vous vu que des gens se réjouissent des licenciements (la casse industrielle est bien une invention de certains syndicats)?
Dans ma vie professionnelle , j’ai croisé souvent les syndicats , je vais dire « responsables » pour ne pas être taxés anti-syndicalistes primaire d’autant que je l’ai été aussi. Mais certains de ces syndicats pensent aussi à aider les salariés en négociant pas en tapant en permanence sur les « patrons » qui ne vous déplaisent , eux investissent pour créer de l’emploi d’abord et effectivement gagner de l’argent . Et s’ils en gagnent , les salariés et les syndicalistes ont du travail .
J’espère également que tous les salariés de Michelin Blanzy soient le moins touchés par ces annonces. Mais la vie est ainsi faite que des usines licencient et d’autres embauchent (350 chez Framatome en Saône-et-Loire).