Afterwork – L’univers de l’emploi par le prisme de la communauté urbaine

Le possible de l’inconscient qui est celui de trouver un job à la communauté urbaine Creusot Montceau n’est pas une simple vue de l’esprit quand bien même la seule certitude de l’afterwork est de déposer un CV et s’entretenir quelques minutes avec un recruteur. Car dans l’inconscient, la CUCM, ça parle !

C’était le premier pas, jeudi à partir de 17h à l’Univers Co au Creusot, l’heure de générer un coup de coeur pour ces dizaines de candidats venus créer un premier lien avec la CUCM qui proposait 28 opportunités à saisir.

Saisir une opportunité dans le monde du travail aussi versatile qu’insaisissable car les plus anciens vous le disent, « mais du travail, y en a, à condition de le vouloir » d’où cette incompréhension entre le chercheur d’emploi et l’employeur. « Je suis venue voir » indique Morgane qui n’avait pas trop regardé les emplois proposés mais cherche une reconversion. Morgane travaille dans un EHPAD et « j’ai envie d’autres choses » dit-elle alors qu’elle attend son tour quelque peu soucieuse.

Romain lui aussi aspire à une autre vie. Il est de Saint-Firmin où il est ouvrier agricole depuis 18 ans mais « mes patrons vont partir à la retraite » précise-t-il. A 40 ans, il vient tâter le terrain, alors pourquoi pas un poste à la voirie, à l’entretien des espaces verts, « même boucher les nids de poule » dit-il en souriant. La CUCM est une piste mais il a postulé à d’autres endroits. « Je prends le temps de voir ».

Le cas de Léo est totalement différent. Il aura 18 ans le 26 mai prochain et s’est inscrit pour passer le permis de conduire dont il sait l’importance pour se déplacer sur le territoire. Il habite à Montchanin, n’a pas fait d’études où le minimum et n’est pas trop regardant pour un premier emploi même s’il a déjà fait de l’intérim chez Isosign pendant les vacances d’été. A la CUCM, le poste de ripeur l’intéresse.

Quant à Olivier, 45 ans, il a déjà travaillé à la CUCM, au centre technique de Torcy avant de partir dans l’industrie où il a été technicien administratif des ventes avant de négocier une rupture conventionnelle. « Je viens reprendre contact avec la CUCM, je veux changer d’horizon professionnel ».

Tous et toutes avaient une bonne raison de participer à cet afterwork.

 

J.B.

 

 

 

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