La pensée du jour – Quand le patrimoine fout le camp

Le fils et petit fils d’un mineur du Bassin minier fait part de son désarroi.

 C’était notre enfance, ces lieux où nous avons grandi, ces lieux ou nos parents et grands-parents y ont laissé leurs traces, des lieux où régnaient la joie de vivre et la convivialité. Où sont donc ces jolis petits villages avec ces jardins  qu’ ils entretenaient de leurs sueurs malgré leur dur labeur du travail à  la mine ? Voila ce qu’ il en reste aujourd’hui, nos anciens pour la plupart n’y sont plus, les enfants par obligation en sont partis, ne reste que désolation et misère d’un monde où l’argent est le seul maître au détriment de souvenirs de quelques générations perdues. Merci au profit de tuer nos villages !

                                                                                un fils et petit fils de mineurs !

3 commentaires :

  1. Quelle tristesse de voir cela !!! Mes grands pères étaient mineurs , et , je ne peux comprendre que l’on laisse ces maisons à l’abandon alors que l’on parle tout le temps de sauver le patrimoine !! Oh , je sais ce que certain vont dire : rénover coute cher !! Les société peuvent avoir des crédits à taux avantageux et puis les anciennes maisons de mineurs ne font elles pas parties du patrimoine miniers ? Et je pense que si ces maisons seraient rénover correctement avec des loyers corrects , il y aurait des demandes !! Donc : rentrés d’argent pour rénover de nouveau des maisons !! Nos quartiers seraient plus gaies … Notre ville moins triste !!

  2. N’oubliez pas ceux qui habitent aujourd’hui ces petites maisons et qui se servent des cours comme des casses automobiles et de déchèterie. La mairie dans la plus élémentaire règlementation concernant la pollution et le stockage de voitures épaves laisse faire.

  3. Les maisons de la Mines dans le quartier du bois du verne vers l’ancienne maison médicale de la mines sont pour la plupart à l’abandon car le quartier n’est plus aussi attrayant que dans ma jeunesse. Il n’y a plus de bal dansant, d’église, de grand marché, de corso,…
    Dans la rue de la coudraie les maisons sont détruites ou les personnes achètent les deux côtés mitoyens pour faire une seule maison.
    Si les maisons doivent être abandonnées, je préfère que la nature reprennent ces droits car certaines maison ressemblent à des casses automobiles ou à un camp de gitans comme en face de la boulangerie rue de la coudraie.
    Les maisons de la mines devraient être vendu à petits prix afin qu’ils n’en aient moins à l’abandon.
    Murielle

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