Blanzy – De l’air, laissez les Coquelicots respirer

Ils sont de retour sur le parvis de l’hôtel de ville de Blanzy. Avec le déconfinement, les Coquelicots fleurissent à nouveau même sous la pluie mais toujours avec cette farouche volonté de mettre un terme à l’usage des pesticides et particulièrement les épandages à proximité des espaces publics et des habitations. « L’urgence et l’importance sanitaire est pour nous la même que pour le covid-19, même si les effets sont moins immédiats et spectaculaires » soulignent les membres de l’association Nous voulons des coquelicots.

Aussi, n’hésitent-ils pas à affirmer _ ils ne sont pas les seuls _ que du fait du dérèglement climatique, il y aura certainement d’autres pandémies. « Quelle confiance pourrait avoir la population dans les injonctions sanitaires paradoxales prises pour sa protection, si les pouvoirs publics permettent l’empoisonnement « légalisé » par les pesticides ? »

Ils ajoutent aussi : « Le ministère de l’agriculture a demandé que les distances de sécurité entre les habitations et les pulvérisations de pesticides soient réduites au minimum dès le début de la saison des épandages, en pleine crise sanitaire et avec une prévision de sécheresse ». Ils précisent encore : « Nous savons aujourd’hui que les pollutions de l’air, entre autres aux pesticides, aggravent notre vulnérabilité face aux virus en agissant sur les systèmes immunitaires ».

2 commentaires :

  1. il y a des coquelicots vers la gare, il pousse même une carcasse de mini dedans, que c’est beau!!!!!

  2.  » ils ne sont pas les seuls « … Et bien si !
    Si on ne peut qu’être d’accord, on peut s’interroger du nombre d’articles de presse pour un groupe de personne qui n’intéresse personne et qui n’est pas bien nombreux.
    Cordialement

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